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e atmosphère française ; la production littéraire
demande
qu’on ne séjourne pas indéfiniment dans le climat étranger. En outre,
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Remontons le cours de votre voyage. Puis-je vous
demander
où vous aviez vos assises en Amérique et quelles furent vos occupatio
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ul Claudel ou à James Joyce — que j’en viens à me
demander
si la condition normale du « bon écrivain » (j’entends : la plus fréq
4
’étudiants « très à gauche » et dont plusieurs se
demandent
, m’a-t-on dit, si l’URSS ne détient pas les clés de l’avenir du monde
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briques. Bref, c’est notre latin moderne. » Je me
demande
où l’on trouve en Europe rien qui ressemble à ce concours des meilleu
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e pire. Arrêtons-nous quelques instants pour nous
demander
quelles sont les causes, le moteur et l’agent de ce mouvement univers
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lusions rapides, peut-être obscures, un sujet qui
demanderait
de gros ouvrages pour être exposé sérieusement. Ce qu’il m’importe de
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stoire. Cette liste de thèmes, vous le sentez, ne
demande
qu’à s’allonger au gré de vos désirs. Quant aux relations entre un te
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plinaires (sciences humaines) sont peu coûteuses,
demandent
peu d’espace, et peuvent s’organiser n’importe où, à la campagne, dan
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otre vieux continent. En août 1947 on est venu me
demander
de parler à un congrès de fédéralistes européens à Montreux où j’ai p
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1926. M’ayant lu dans la Revue de Genève , il me
demandait
« s’il m’intéresserait quelque jour de collaborer à la NRF ». J’éta
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tres ne leur doivent. Et qui pourrait tolérer, se
demande
un jeune homme, de n’être pas écrivain ? Cet état « singulier » de n
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n veut qu’elle mérite le nom d’Europe. Si l’on me
demande
maintenant comment on peut traduire en termes de structures politique
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risques et périls ! Nous voici contraints de nous
demander
ce que nous attendons de notre vie et de la société, ce que nous voul
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s vingt-cinq ans. Mais il l’est moins parce qu’il
demande
qu’on dépasse les États-nations que parce qu’il pose une hiérarchie n
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dans notre Suisse. Quant à la participation qu’il
demandait
, c’est le mot clé du fédéralisme. Merveilleux compromis entre le myth
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ertaine Europe, le début d’une autre ? Nous avons
demandé
à Denis de Rougemont ce qu’il pensait de l’homme d’État, après que Ja
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, c’était vers 1925, sur le ton d’un gangster qui
demande
la clé de la caisse. Nulle part peut-être mieux que dans ses « jeux »
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tait vraie, mais elle n’expliquait rien. Quand on
demande
à Zazie pourquoi elle veut devenir institutrice, elle répond : « Pour
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’achever. (Ainsi j’écris cela parce que F. J. m’a
demandé
d’écrire pourquoi j’écris.) Mais surtout, j’écris pour mouvoir : ma c
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fesseur au Collège de France8 auquel la Gazette
demandait
dernièrement s’il pensait que l’on devait faire l’Europe sur le modèl
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s « patriotes » désorientés. Or il est sain de se
demander
, au minimum une fois par an, ce que nous faisons là, et pourquoi nous
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10, et dont vous dites qu’elle ressemble à ce que
demande
Illich ? Une école comme celle des amish, oui. Quant à Illich, bien q