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: « Je ne comprends plus ! » En réalité, ils nous
demandent
des thèmes de discussion, c’est-à-dire des prétextes à différer toute
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des ordres 1. Celui qui veut vraiment agir ne
demande
pas d’abord un programme, mais d’abord une force. On peut affirmer sa
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e qui est dans la foi sait bien qu’il n’y a pas à
demander
de « solutions pratiques », car la foi est précisément une force qui
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espace : voici ce que tu dois faire. À celui qui
demande
: que dois-je faire ? le chrétien n’a donc rien à répondre, en princi
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ore que vous ne l’imaginez peut-être, car si vous
demandez
des solutions pratiques, vous n’avez pas compris la gravité du cas hu
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point justement, et nulle part ailleurs. On nous
demande
des réponses ? Mais nous ne pouvons que mettre et remettre en questio
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aison en est pourtant bien claire. Nous préférons
demander
aux hommes ces ordres que l’on ne peut attendre que de Dieu : parce q
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çu par moi, mais encore d’être reçu quoi qu’il me
demande
, fût-ce ma mort, n’est-ce pas pour cette seule raison, où bat le cœur
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ait, se retourne vers la Nature et s’en aille lui
demander
précisément ce qu’il lui doit : la révélation salutaire. Il faut voir
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Soyez appareillez à respondre à chascun qui vont
demande
rayson de l’espérance qui est en vous.15 » On n’oserait pas affirmer
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cette indifférence théologique sont tels qu’on se
demande
parfois si nos temples sont encore fréquentés par des protestants, et
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n nous ». À nos lecteurs comme à nous-mêmes, nous
demanderons
le simple effort de confronter la doctrine chrétienne telle que les b
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que reste-t-il de la vie chrétienne ? Je vous le
demande
! Mme Nicodème (sèchement). — C’est exactement ce que je pense. Un
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seulement d’agiter des pensées… Eh bien, je vous
demande
si nous faisons autre chose ? Oui, même quand nous condamnons Nicodèm
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n de notre raison ? Au point qu’on en arrive à se
demander
pourquoi le Christ a dû mourir pour triompher de notre péché, alors q
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nt. Et je me sentirai d’autant plus libre de leur
demander
sérieusement, c’est-à-dire sans aucune intention polémique, ce qu’ils
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ement, la tradition est index sui et falsi. On se
demande
alors sur quelle base « objective » ou « subjective » les docteurs ca
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éternellement » (Jean 6:55 et 6:59). On n’ose pas
demander
aux catholiques ce qu’ils pensent réellement de cette… raison, car le