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ain de la vie. Ainsi le public perd l’habitude de
demander
aux écrivains autre chose qu’« une heure d’oubli », une distraction s
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à l’heure d’une campagne violente. Cette épithète
demande
quelques explications. En Europe, la violence politique s’exprime par
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ation des voyages. Passer d’Amérique en Europe ne
demandait
plus que quelques heures ? On y ajouta plusieurs semaines de démarche
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logements. — Est-ce que Paris a été bombardé ? me
demandent
-ils non sans inquiétude. — Et New York donc ? Si vous y connaissez de
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act. La brusquerie des employés intacte, quand on
demande
un renseignement et qu’on les voit s’identifier, en un clin d’œil, av
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Et j’ai feuilleté des éditions si belles qu’on se
demande
quels talents les méritent. Ce qu’il y a de plus intact en Suisse, pe
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ne faut rien faire en attendant. Et l’opinion se
demande
si tout cela dissimule une idée de derrière la tête, ou révèle au con
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. Elle n’entre pas dans les subtilités. Elle vous
demande
« Que voulez-vous faire ? » Si vous ne voulez pas fédérer l’Europe, v
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l’air de le penser dans ma candeur naïve, je vous
demanderai
si quelque chose au monde est plus difficile à concevoir que le maint
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à cheval, en uniformes. « Sont-ce vos soldats ? »
demande
le prince de Hesse. « Non, mes amis ! », dit le grand homme. Et tous
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nt de les transformer en engagements concrets. Se
demander
si les Russes sont sincères serait bien vain : il faut absolument les
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ieux l’offre russe de sécurité occidentale, c’est
demander
et obtenir le rattachement des pays de l’Est à quelque forme d’union
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celui qu’on vient de mentionner, nous ne saurions
demander
rien de plus ; nous sommes prêts à « causer » dès demain. (Je le dis
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n’est pas à ceux qui croient cela que les Russes
demanderont
à parler ! Les contempteurs de l’Occident, douteurs chroniques ou neu
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és dans la logique de cette phénoménologie. On se
demande
alors ce que l’auteur n’a pas restitué de la croyance des Églises ? C
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a donc bien un problème, et Rougemont a raison de
demander
, au nom des valeurs qui étayent son patriotisme, que ce problème soit
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taire de la mission morale du pays ». Je n’ai pas
demandé
qu’on le décore, mais simplement qu’on ne le mette pas au ban de notr
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main : par quoi je veux dire plus divin. Et ne me
demandez
pas si je crois que cela réussira : car nous ne sommes pas là pour es
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a jamais écrit sur l’amour, là, il y a lieu de se
demander
… Ceci dit, réduisons « l’invasion » à ses justes proportions : L’Amo