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en oublis. Je pense aux élections de demain et je
demande
: de quoi s’agit-il ? Va-t-on choisir bien consciemment entre trois i
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à une notion totale de l’homme d’une part, et aux
demandes
pratiques de l’autre, en réduisant tous les intermédiaires et sans te
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entier et non le partisan. Et c’est pourquoi nous
demandons
à distinguer, selon les cas, quelles sont les entreprises humaines qu
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l’âge où l’on prépare dans le monde entier, à la
demande
générale, la prochaine et irrévocablement dernière guerre civile du g
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pour un gouvernement mondial ». Est-ce qu’on lui
demande
si elle est prête pour la mort ? L’humanité, ce sont des gens comme v
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d’une vie plus satisfaisante à tous égards. On me
demandera
: Qu’y a-t-il de proprement religieux dans tout cela ? Tout et rien,
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n style, son art, et sa vraie force. Certains lui
demandaient
un « message ». Il n’aimait guère ce mot, pour des raisons profondes
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isser limiter, et c’est pourtant ce que nous leur
demandons
. Tous les gouvernements ont un penchant marqué à persévérer dans leur
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tre vieux continent. En août 1947, on est venu me
demander
de parler à un congrès de fédéralistes européens, à Montreux, où j’ai
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elui qui pose des questions simples et naïves, je
demande
: « Concorde, à quoi est-ce que ça sert ? ». On m’assure que cet appa
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rgument proprement scandaleux ! Faut-il, comme le
demandait
un Premier ministre, supprimer toute limitation de vitesse sur les au