1
savez, la conférence est contradictoire. Je vous
demanderai
donc de bien vouloir proposer des noms. » Silence. Chuchotements. — V
2
n peu trop à mon goût. On applaudit. Le président
demande
s’il y a des questions à poser. Long silence embarrassé. Enfin un typ
3
ssé. Enfin un type se lève au fond de la salle et
demande
« s’il n’y a pas des contradictions dans la Bible ». Suit une petite
4
veut encore remercier M. Palut. Enfin il veut lui
demander
« si ce serait possible de se procurer une Bible pour étudier un peu
5
us dis ma première impression, puisque vous me la
demandez
. Je sais bien que vous les connaissez beaucoup mieux que moi… Le past
6
mer des hommes qui ne nous sont rien, qui ne nous
demandent
rien, qui peut-être ne voudraient pas même de notre aide (nous égalen
7
ge ? 15 mars 1934 Je rentre de Vendée. On m’avait
demandé
d’y aller faire quelques causeries. J’en rapporte deux séries d’obser
8
s, que la situation matérielle était meilleure et
demandait
un développement tout différent ; qu’on voulait surtout, par ici, gar
9
es que des psychanalystes. Au fond, lorsqu’ils se
demandent
si le rêve est connaissance ou illusion, et si c’est « l’Autre », ou
10
les structures de l’homme, peut-être pouvons-nous
demander
à la biographie des romantiques quelques lumières sur les mystiques p
11
aux vrais croyants, mais au contraire il leur est
demandé
d’agir et d’annoncer leur foi. « C’est en confessant de la bouche qu’
12
urrait produire un réveil brusque ? Cette maladie
demande
un long traitement, de nature spirituelle, à mon avis, au moins autan
13
je comprends qu’il faut pousser plus loin. On se
demande
parfois : qu’est-ce, en somme, que le péché ? C’est cela, c’était ce
14
croire que je n’ai pas peur… » — Eh bien ? m’ont
demandé
mes amis dans la voiture qui nous emporte sous la pluie, qu’en pensez
15
n extremis est notre seule chance de salut. On se
demande
en vain ce qu’il peut y avoir de « généreux » dans une opération de c
16
té. J’essaierai maintenant de répondre à ceux qui
demandent
ce qu’on a fait déjà, et ce qu’on peut faire à temps pour fédérer l’E
17
ard, à la suite d’une décision des Cinq et sur la
demande
réitérée de nos mouvements, une conférence restreinte de dix-huit min
18
e redressement. Et les menaces de guerre sont là.
Demandez
à l’opinion si elle est mûre pour la guerre ! Elle hésite à vous suiv
19
pris l’habitude d’y travailler ensemble. On s’est
demandé
si ces premiers succès laissaient encore une raison d’être suffisante
20
ouveraineté que nul ne songe à contester. On nous
demande
pourquoi nous venons ici. — Pour un congrès. — Quel congrès ? Il y en
21
lé sous le ronron lent de l’hélice. Je sonne pour
demander
du thé. Les trois formes blanches naissent dans l’ombre. Je me rendor
22
u trois hommes en blanc près de la table. Je leur
demande
du sucre. Ils sourient et s’inclinent. Ils ont des crayons à la main
23
à distinguer neutralisme et neutralité ; ceux qui
demandent
que les démocraties balayent devant leur porte, se réforment d’abord,
24
x gros yeux blancs, sérieux et lent. Raja Rao lui
demande
ce qu’il lit. C’est un chant du Mahabharata. Ils écoutent sans bouger
25
me je l’apercevais de loin : — Qui est-ce ? ai-je
demandé
à mon ami. — Un holy man, a-t-il répondu distraitement. — Mais un vra
26
n ne sait où, mais on ne peut s’empêcher de se le
demander
, et d’eux seuls dans la foule infinie, car eux seuls sont vraiment di
27
n l’affaire du blé. La famine menace au Bihar. On
demande
l’aide des États-Unis, on critique en même temps leur politique, on l
28
ssin, sans réagir. Je ne sais pourquoi je me suis
demandé
, à ce moment-là, s’il pensait en hindi ou en anglais.) Mais à table,
29
ête à pires malentendus ! Un Français cultivé qui
demande
à son Littré le sens du mot fédéralisme trouve ceci : « Fédéralisme :
30
eux maxima contradictoires, — comme l’offre et la
demande
dans un prix.) L’ensemble des problèmes et des solutions ainsi défini