1 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
1 miraculeusement, gémir n’est pas un argument. Je demande le droit de démolir. Et me l’accorde aussitôt. Sans conditions. Mon r
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
2 e nature à légitimer l’énormité de l’effort qu’on demande à ces petits. Là encore il y a une exagération absurde, une généralis
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
3 la main, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre qu’à la faveur du tumulte l’un
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
4 crois aussi qu’on ne peut réformer l’absurde. Je demande seulement qu’on m’explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de q
5 n publique est pratiquement irréalisable. Ici, je demanderai poliment au lecteur de vouloir bien ne point trop faire la bête, sino
6 gré ses ratés assez fréquents. Maintenant je vous demande un peu quel intérêt il y aurait à perfectionner l’instrument, à l’ada
7 Ce serait de l’art pour l’art. On ne peut pas en demander tant aux gouvernements. La réforme scolaire, politiquement, n’est pas
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
8 la congrégation radicale des instituteurs. On me demande encore ce que je mettrais à la place. Et parce que je ne propose rien
9 triomphe grossièrement. J’aurais voulu vous voir demander à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la royauté a
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
10 ts suivront infailliblement. Par exemple, je vous demande une fois pour toutes si vous tenez, oui ou non, M. W. Rosier, auteur
11 cachées aux agités ; la nature par exemple. Je ne demande pas qu’on nous enseigne le goût de la nature. Mais qu’on nous laisse