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, des tas de choses à écrire… Elle n’ose pas m’en
demander
davantage. Et moi, je recule devant l’entreprise de lui expliquer la
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st venue plusieurs fois nous voir. Hier, elle m’a
demandé
avec toutes sortes de précautions oratoires embrouillées si son fils
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à la dire… Peut-être, dans un siècle ou deux, se
demandera-t
-on comment nous avons pu rester si parfaitement aveugles ? Ou bien es
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savez, la conférence est contradictoire. Je vous
demanderai
donc de bien vouloir proposer des noms ». Silence. Chuchotements. « V
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n peu trop à mon goût. On applaudit. Le président
demande
s’il y a des questions à poser. Long silence embarrassé. Enfin un typ
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ssé. Enfin un type se lève au fond de la salle et
demande
« s’il n’y a pas des contradictions dans la Bible ». Suit une petite
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veut encore remercier M. Palut. Enfin il veut lui
demander
« si ce serait possible de se procurer une Bible pour étudier un peu
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us dis ma première impression, puisque vous me la
demandez
. Je sais bien que vous les connaissez beaucoup mieux que moi… — Le pa
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mer des hommes qui ne nous sont rien, qui ne nous
demandent
rien, qui peut-être ne voudraient pas même de notre aide (nous égale
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— prouvent qu’ils n’y croient pas totalement. Ils
demandent
« confirmation » — au sens étymologique. — On comprend qu’ils s’achar
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1934 Gens. — Il est très impressionnant de se
demander
en face de ces hommes, à quelques mètres d’eux, quand ils travaillent
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lignes : je donnerais le plus possible à ceux qui
demandent
beaucoup, et qui se rangent ainsi dans une catégorie spirituellement
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15 mars 1934 Je rentre de Vendée. On m’avait
demandé
d’y aller faire quelques causeries. J’en rapporte deux séries d’obser
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s, que la situation matérielle était meilleure et
demandait
un développement tout différent ; qu’on voulait surtout, par ici, gar
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r. Je suis allé à A. acheter des cigarettes. J’ai
demandé
à Mellouin d’apporter un nouveau tonnelet. Et nous allions nous mettr
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oin d’ici. Curieux garçon : j’en suis encore à me
demander
ce qui l’amenait. Pendant tout l’entretien — littérature et politique
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se une sorte de malthusianisme cérébral. D’autres
demandent
une trêve des inventeurs. C’est la même démission du cogito. La même
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ualité et quantité, voilà ce que j’ose froidement
demander
. Si j’ajoute qu’à mon sens, cela n’exclut nullement la nécessité d’av
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liquait à sa voisine qui paraissait malade : « Tu
demanderas
bien un espécialiste rappelle-toi ! Si tu oublies, tu n’auras qu’à te
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!… »11 Les éditeurs s’efforcent de répondre à la
demande
du public. Il faut des livres faciles, des livres gais, etc. C’est, d
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livres gais, etc. C’est, disent-ils, ce que l’on
demande
. — Hé ! oui, parbleu, c’est ce que « les gens » demandent. Mais saven
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e. — Hé ! oui, parbleu, c’est ce que « les gens »
demandent
. Mais savent-ils bien ce qu’ils demandent, et pourquoi ils le demande
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gens » demandent. Mais savent-ils bien ce qu’ils
demandent
, et pourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des éditeurs, mais
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-ils bien ce qu’ils demandent, et pourquoi ils le
demandent
? Est-ce que le rôle des éditeurs, mais surtout et d’abord des écriva
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« les gens » de quoi ils ont besoin et ce qu’ils
demandent
réellement ? Car les gens ne demandent pas ce qu’ils ont l’air de dem
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ce qu’ils demandent réellement ? Car les gens ne
demandent
pas ce qu’ils ont l’air de demander, et ce qu’on se montre si pressé
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les gens ne demandent pas ce qu’ils ont l’air de
demander
, et ce qu’on se montre si pressé de leur donner à bon marché. Ils s’e
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’ont pas de formules pour avouer leur peine, pour
demander
les « remèdes » qu’il faudrait. On ne le leur a pas appris. On a préf
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Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je
demande
au pasteur ce que c’est que ces communistes. — Voilà. Que vous dire d
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x seuls qui proposent des réformes pratiques, qui
demandent
qu’on installe l’eau et l’électricité dans les maisons, etc. C’est l’
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nt tout de même quelque chose, mais bou Diou ! ça
demande
du raisonnement. Par exemple, il a écrit au ministre — au ministre du
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’erreurs de faits et de formules électorales ! Je
demandai
la parole pour expliquer, le plus simplement que je pus, que le probl
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era quelque équilibre et c’est tout ce que je lui
demande
. Mais ici prenons garde à deux faits, aussi importants l’un que l’aut
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rguments qu’il m’oppose… — Tout ce que le lecteur
demande
, c’est qu’on lui raconte une histoire, me dit R. — Mais si je raconte
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ier qui est arrivé en mon absence, deux nouvelles
demandes
de « causeries » : l’une à un Congrès d’instituteurs, l’autre à un ce
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Réaction insolente : « Place aux Vieux ! » On se
demande
s’il est au monde un seul pays, hormis la France, où cette phrase soi
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tôt c’est avouer qu’on n’a pas su les voir. Aller
demander
à la Nature la révélation d’une vie saine et délivrée de toute contra
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ui cherche en nous ce que notre délire allait lui
demander
: les prémices d’une nouvelle création, et la « révélation des enfant
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nt mieux, fait l’homme. Et si des fois on vous en
demande
de trop, vous n’avez qu’à donner la mienne, vous savez. Plus on la li
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foi dans le pouvoir d’une pensée droite, — on se
demande
par quelle rancune vaguement démoniaque, et surtout vaine, ils en vie
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expression de cette Volonté. Aider le peuple sans
demander
son avis. Avec l’espoir qu’un jour ou l’autre, il se retrouvera capab
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protocole. Je sens bien qu’il est inutile de leur
demander
de s’expliquer. Tout cela repose sur un vieux fonds de rites de prote
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ets, aussi par le cortège de la Bastille. Je leur
demande
ce qu’ils pensent de la brutalité tyrannique de Staline, des camps de