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re ne nous parlera point, — la plus réelle. On se
demandera
sans doute pourquoi ce journal n’est publié qu’après deux ans de tiro
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er s’en empare : — Est-ce de la Hetzpropaganda ?1
demande-t
-il d’un air menaçant. — Nous ne connaissons pas ce genre de littératu
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une certaine somme de « connaissances ». Je leur
demande
de répondre par écrit à cette question : « Pourquoi j’étudie les lang
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il faut reconnaître que la plupart des hommes ne
demandent
à leur quotidien qu’un feuilleton tragi-comique, non pas seulement ce
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6° ne dénigre jamais sa nation et ses chefs ; 7°
demande
des articles à des écrivains et à des savants plutôt qu’à des acteurs
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nche qui passe sur un village des Alpes : je vous
demande
un peu quelle gloire et quel bénéfice en retirent les survivants ! Al
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la France. Qu’aurions-nous à y gagner, je vous le
demande
? Moi. — En effet. Mais avec la Russie ? Lui. — C’est autre chose.
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femme de bien… — Est-ce un ouvrage politique ? me
demande
l’employé. — Comment voulez-vous que je le sache ? Donnez-le-moi d’ab
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e, en direction du Rhin. — Est-ce la guerre ? m’a
demandé
le vendeur du kiosque à journaux. — La guerre, grands dieux ! Parce q
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n. On se passe une lorgnette, une saucisse. On se
demande
l’heure. Parfois un bruit de houle parvient par les baies ouvertes, c
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une réalité qui provoque la stupeur du siècle. On
demande
sottement s’il est intelligent. Ne voyez-vous donc pas qu’un homme in
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s affaires, qu’après cela, on n’oserait plus leur
demander
le petit effort supplémentaire de distinguer entre l’Hitler d’Allemag
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elle impression emportez-vous de l’Allemagne ? me
demandaient
-ils sur le chemin du retour, tandis que le jour baissait dans la forê
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u, c’est tellement entendu qu’il reste alors à se
demander
comment, tout de même, c’est possible ; comment des hommes, des milli
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ses camarades allèrent trouver le chef du camp et
demandèrent
l’autorisation de se retirer, étant chrétiens. Suit le récit de plusi
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ment vos ordres avant que l’idée vous vint de lui
demander
les siens. Mais le Führer a prévu l’objection, et il la réfute d’avan
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ou la confirmation à la suite d’un vote général,
demandé
par un groupe de citoyens, d’une loi ou d’un projet de loi. Là où le