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ésister : il est d’abord celui de se risquer. Je
demandai
à l’homme qui se tenait à la porte de l’année : « Donne-moi une lumiè
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iciens ou en opportunistes, comme certains qui se
demandent
encore, par exemple, s’il est de gauche ou de droite, alors qu’il est
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laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs. Elle ne
demande
pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle demande : quels sont t
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de pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle
demande
: quels sont tes morts ? Religion du sang, religion de la terre et de
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ainsi qu’à l’aula de l’Université de Bâle, sur la
demande
de l’Association générale des étudiants de cette ville. 3. Il s’agit
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toutes nos forces une Europe fédéralisée, nous ne
demanderons
pas un paradis sur terre. Nous demanderons simplement un monde humain
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ous ne demanderons pas un paradis sur terre. Nous
demanderons
simplement un monde humain. Non pas un monde d’utopie où toutes les l
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ée de mettre en question parmi nous. Par exemple,
demande
Ramuz : Avons-nous autre chose à dire que propreté, confort et instru
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l autre n’a reçue. La Suisse existe-t-elle ? nous
demande
Ramuz. Cela revient à dire : a-t-elle une raison d’être ? J’essaierai
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814-1815, lorsque les députés de la Confédération
demandèrent
au congrès de Vienne la reconnaissance de leur neutralité : on craign
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ont toujours, quoi que nous fassions : elles nous
demandent
, à nous les Suisses, si nous avons encore une raison d’être, si nous
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ienne qu’à nous seuls, à nous Suisses. Elles nous
demandent
quelle est la Suisse que nous sommes décidés à défendre. Voilà le déf
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fut autrefois voulue par Dieu. Il nous faut nous
demander
maintenant si vraiment Dieu la veut encore. Redoutable question, je l
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de notre Suisse ? Certes. Mais il convient de se
demander
ce que valent ces fameux privilèges dans l’Europe toute nouvelle où n
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ous vivons en ce début de 1940. Il convient de se
demander
s’ils sont de purs et simples privilèges, ou s’ils ne comporteraient
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, les bolchévistes sont pour le désordre. Sans se
demander
un seul instant de quelle espèce d’ordre il s’agissait. Or, prenons-y
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t. Que reste-t-il donc à répondre à ceux qui nous
demandent
d’entrer en guerre ? Ni l’argument des réalistes, ni celui des jurist
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par quels moyens il pourrait y contribuer, je lui
demanderai
d’aider au moins ceux qui se trouveraient mieux placés dans ce combat
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et de nous défendre en ripostant, pourquoi donc,
demanderai
-je, fortifier nos frontières ? L’intégrité du territoire serait-elle
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x qui dont froids ou bouillants seront mangés. Je
demande
à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas parler de neutralité en g
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ervir d’excuse à l’absence de vues politiques. On
demande
à un gouvernement de « gouverner44 », de piloter l’État et d’orienter
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om l’indique — et des conseillers commerciaux. On
demande
des diplomates qui fassent une politique, et qui aient plus d’idées g
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G. de Reynold. — À propos de cet écrivain : on me
demande
sans cesse en quoi et pourquoi mes positions diffèrent des siennes. J