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près ce petit tour d’horizon, on s’arrête et l’on
demande
d’un autre ton : « Et maintenant, quels sont tes projets ? » Je ne sa
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n nouvelle dans le monde. Enfin, j’ai hâte de lui
demander
: « Et maintenant, qu’allons-nous faire ensemble ? » ⁂ L’Europe a mau
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s épargnés par la guerre. Voici le moment de nous
demander
très sérieusement si, dans cette conjoncture plus que défavorable, il
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es tout à fait urgents et familiers, quand ils se
demandent
si c’est l’Europe ou l’Amérique qu’il leur faut souhaiter pour leurs
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lus qu’elle ne l’intéresserait. L’Américain moyen
demande
une solution qu’il puisse appliquer en sortant, là où nous cherchons
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iques de toute pensée, même gratuite d’apparence.
Demandons
-nous ce que nous avons à faire pour maintenir et pour illustrer les v
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dominés par l’influence protestante. Si nous nous
demandons
, en effet, quels sont les pays de l’Europe qui « marchent le mieux »,
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la foi religieuse — et c’est à tel point qu’on se
demande
si ce qui les gêne le plus n’est pas simplement l’homme, dans son hum
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ouvoir d’invention. Ici, point de malentendu ! Ne
demandons
pas l’instauration d’une fédération européenne pour que se crée un tr
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aux dimensions continentales. Ce qu’il nous faut
demander
, et obtenir, nous tous, c’est que les nations européennes s’ouvrent d
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Europe au monde, du même coup. Ce qu’il nous faut
demander
et obtenir — obtenir de nous-mêmes tout d’abord — c’est que le génie
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nser, que penser d’autre pour la paix, je vous le
demande
, qu’un idéal fédératif mondial ? C’est pourquoi, sans reculer devant