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élons veillent sur la vertu de la reine. Celle-ci
demande
et obtient un « jugement de Dieu » pour prouver son innocence. Grâce
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confesser. Mais au lieu d’avouer leur péché et de
demander
l’absolution, ils s’efforcent de démontrer qu’ils n’ont aucune respon
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dence. Interrogez celui qui use d’un tel langage,
demandez
-lui raison de sa prédilection, pour telle ou telle image d’apparence
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révéler. Jamais tu ne pourras connaître ce que tu
demandes
. » Et plus tard, quand il meurt : « Je ne suis pas resté au lieu de m
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st aussi la naissance du prochain. À ceux qui lui
demandaient
ironiquement : Qui est mon prochain ? Jésus répond : c’est l’homme qu
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ser des formules apprises on ne sait où. Et je me
demande
, après Aroux et Péladan, si le secret de toute cette poésie ne devrai
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upire et je languis. Est-il vraiment possible, se
demande
le lecteur, d’imaginer que Peire Vidal soit autre chose qu’un galant
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perfides délateurs, accomplis en toute malice, à
demander
qui elle est, et quel est son pays, s’il est loin ou près, car je vou
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re de leurs aspirations. » Si c’est le cas, on se
demande
d’où vient la gêne et l’« agacement » de l’auteur lorsqu’il est oblig
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des chansons la mauvaise conscience, et qui leur
demandaient
non pas tant une illusion d’amour sincère qu’un antipode spirituel au
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c » faite par le roi à quelque damoiselle qui lui
demande
un don, sans dire lequel. Il s’agit en général d’un service très péri
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Frédéric persécute l’hérésie. De même, on peut se
demander
dans quelle mesure les Siciliens « savaient » encore ce qu’est l’Amou
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téréotypée. Dante et Cavalcanti, d’autres encore,
demandaient
plus de sincérité et plus de chaleur amoureuse, mais en même temps, i
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une chose — c’est de l’avoir —, à son Seigneur la
demande
, et tous les Saints implorent cette faveur. Seule, Pitié prend notre
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dont on parle. « Cet Amour est-il vie ou mort ? »
demande
courageusement le premier. Et le second répond : « Du pouvoir de l’am
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pas le sublime, voici la divinisation. Pétrarque
demande
comment il se peut faire qu’il vive encore, quoique séparé de sa dame
17
n chaque jour plus proche, à Dieu mille fois j’ai
demandé
ces ailes avec lesquelles, hors de la mortelle prison, pourrait s’enl
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e de l’identité de Shakespeare, il est vain de se
demander
s’il connaissait la tradition secrète des troubadours. Mais on peut r
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e sa maîtresse. Au dénouement, il est encore à se
demander
si cette « reine de l’Île inaccessible » ne va pas lui faire couper l
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rée, de son côté conçoit la même pensée. Ils vont
demander
la fin de leurs maux à la Fontaine de Vérité, gardée par des lions et
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de leur labeur Et de leur douloureux amour ! Ils
demandaient
l’union des habitants des cieux : Déjà ils sont entrés dans le sanctu
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lus que sous forme de plaisanteries paysannes. La
demande
en mariage, avec échange de visites en haut de forme et « déclaration
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n d’un conflit de caractères ou de goûts, l’on se
demande
: pourquoi suis-je marié ? Et il est non moins naturel qu’obsédé par
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se confier dans son désir le plus puissant, à lui
demander
la délivrance. Et l’Éros ne pouvait le conduire qu’à la mort. Mais l’