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iques sans Dieu, des saints sans Dieu. Malraux se
demande
si la mort de Dieu n’entraîne pas celle de l’homme, — pensée difficil
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rne, la culture et la société. Mais a-t-on jamais
demandé
à ceux qui disent que Dieu est mort, ce qu’ils entendent exactement p
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mais plutôt une espèce de prière tâtonnante pour
demander
le bon usage de cette maladie qu’est le siècle, et dont nous sommes t
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nt. Des prêtres et des religieux français se sont
demandé
si, dans ce décalage entre le cadre pastoral des évangiles et la vie
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parce que tout de même Dieu existe. Mais on leur
demandera
de le démontrer. Et comme Dieu n’est pas démontrable, on leur demande
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rer. Et comme Dieu n’est pas démontrable, on leur
demandera
de donner au moins la preuve qu’ils croient en lui. C’est ici que les
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e conviennent pas à la certitude. Et si l’on nous
demande
ce que nous croyons, récitons simplement le Credo. Et ensuite, passon
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rer Wagner, Whitman, ou Renoir, sans seulement se
demander
si cela était compatible avec sa foi. Car en fait la théologie avait
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l’on prend pour but la prospérité, mais que l’on
demande
la possibilité matérielle pour chacun de réaliser sa vocation, etc.)
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il est possible le mystère dernier d’Israël. « Je
demande
maintenant : Dieu a-t-il rejeté son peuple ? Non certes, car je suis
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e dense pour exercer en plein ses énergies. Dante
demande
à Thomas d’Aquin un cadre, des repères solides, une résistance effect
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8. La mission de l’artistebc On m’a
demandé
, récemment, de parler de la « Mission de l’Art en tant qu’expression
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ulement à l’origine d’une doctrine synergiste qui
demande
examen, mais coïncide historiquement avec l’affaiblissement ou la per
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ers, artistes, savants, législateurs et artisans.
Demandons
-nous quelle différence il y a entre l’homme qui fait un poème, une pa
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ue de la Renaissance ? Ou faut-il au contraire se
demander
si notre notion de la beauté n’est pas sujette à de sérieuses révisio
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ure et le but de l’œuvre d’art, nous pouvons nous
demander
maintenant à quelles conditions un artiste peut remplir sa mission pa
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lus souvent confuse), correspondant à la deuxième
demande
de l’oraison dominicale : « Que Ton règne vienne. » bc. Ce texte p
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seul subsiste : c’est l’amour. Encore faut-il se
demander
de quelle sorte d’amour il s’agit, et si ce sentiment isolé du comple
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de cacher cette particularité à ses camarades, se
demande
ce qui lui manque pour être comme tout-le-monde, c’est-à-dire comme l
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t que le cinéma ne s’en mêle. La Rochefoucauld se
demandait
: « Combien d’hommes seraient amoureux s’ils n’avaient pas entendu pa
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pas entendu parler d’amour ? » Nous pouvons nous
demander
combien d’hommes auront encore l’idée de tomber amoureux quand on ne
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unes les plus sceptiques. Nous devrions également
demander
à nos romanciers d’abandonner pour un temps leurs triangles romantiqu
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s biens et d’intérêts humains très chers. Mais je
demande
à ces chrétiens « changés » s’ils ont un souci suffisant des suites s
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hange chez Marx.) 37. « Les pharisiens lui ayant
demandé
quand viendrait le Royaume de Dieu, Jésus leur répondit : Le Royaume
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ent plus comment la satisfaire. À la fin, ils lui
demandèrent
: « Qu’as-tu ? — J’ai faim. — Nous t’avons donné toute la nourriture
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’hui proposer cette réponse ?bt Avant même de se
demander
si les Églises peuvent répondre, il faut qu’elles comprennent qu’elle
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ceux qui croient la possibilité de faire ce qu’il
demande
. Dans l’état d’impuissance apparente où se voient aujourd’hui les Égl
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n ne peut faire la guerre sans lever la main pour
demander
la permission — qu’on lui refuse. Aucun ne peut garder seul ses colon