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Introduction Un beau jour on me
demande
un livre sur la Suisse. « Quel genre de livre ? Il y en a tant sur ce
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s qui suivirent la dernière guerre. Quand il vous
demandait
un article pour cette Revue de Paris qu’il faisait presque seul, on
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par conséquent le canton n’aurait aucun moyen de
demander
secours par lettres ni par ambassades, ils ont pourvu à cela, et ordo
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Genève est le plus scandaleux : cette ville ayant
demandé
d’adhérer aux Ligues, les cinq cantons du Centre, auxquels se joint F
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De Republica Helvetiorum (1576), Josias Simler se
demande
si la « louable Confédération » est un État, et il répond oui, en ce
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lorrains passant à Rothenbourg, près de Lucerne,
demandèrent
au curé ce qu’ils devaient penser de la noblesse suisse ; il leur rép
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plus haut placé devait garder les vaches. Ils lui
demandèrent
alors si le colonel Guillaume Fröhlich, commandant des Suisses au ser
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fendre comme un tout. Arrêtons-nous ici pour nous
demander
si, avant le coup de force français créant la République indivisible,
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xpressément énumérées55. Non seulement on n’a pas
demandé
aux États membres de renoncer à leur souveraineté, mais encore, cette
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et centralisateurs. Un Français cultivé et qui se
demande
quel est le « vrai » sens du mot fédéralisme, recourt à son Littré, o
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orer un projet de Constitution européenne. Je lui
demande
comment vont les travaux. « Nous butons, me dit-il, sur le problème d
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mis à l’adoption ou au rejet du peuple lorsque la
demande
en est faite par 30 000 citoyens actifs ou par huit cantons » (art. 8
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visions totales ou partielles de la Constitution,
demandées
par 50 000 citoyens au moins. Jusqu’en 1962, 48 ont été soumises au v
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— somme toute peu fréquent — où le référendum est
demandé
, la décision finale sera prise par le souverain, c’est-à-dire par la
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de leur présente autonomie : elles devraient tout
demander
à l’État, et cet État deviendrait unitaire, contrairement à sa vocati
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isation de résidence, sans laquelle il ne pouvait
demander
le droit de bourgeoisie. Du fait de la guerre, les demandes de natura
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e droit de bourgeoisie. Du fait de la guerre, les
demandes
de naturalisation étaient examinées beaucoup plus lentement que d’ord
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ionnettes de Salzbourg jouant Mozart, personne ne
demande
« ce qu’elles veulent dire » : elles ne calligraphient ou ne pianoten
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ue la plupart des bâtiments modernes qu’on ne lui
demanda
pas de dessiner sont les œuvres de ses disciples, dans le monde entie
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e théâtre musical proprement suisse. Lorsqu’on me
demanda
d’en écrire un (ou quelque chose qui s’inspirât de cette formule) pou
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théâtre populaire de Mézières (près Lausanne) lui
demanda
de mettre en musique Le Roi David, pièce du Vaudois René Morax. Il av
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ation (ce que l’école ne comprend pas). » Loin de
demander
qu’un bon enseignement de la rhétorique, à la française, délie les la
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rt : obtenir un conformisme de la curiosité. » Je
demandais
que l’on remplace l’enseignement primaire par une espèce de yoga, d’e
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grands journaux romands. Depuis 1962, date de la
demande
d’association de la Suisse au Marché commun, s’interroger sur l’aveni
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examens de conscience. « Quels problèmes ? », me
demande
l’Européen qui venait admirer notre libre Helvétie et qui est un peu
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res, plutôt mal vues à cause de l’adjectif. Notre
demande
d’association au Marché commun prit pour certains une allure de Canos
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e matin, 13 avril 1964. Un député de Genève ayant
demandé
au Conseil fédéral de présenter un tableau de sa gestion « considérée
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ale risqueraient d’être stériles… Le gouvernement
demande
à être jugé sur ses actes, non sur ses intentions. » (Ce qui revient
29
i commentent cette déclaration presque incroyable
demande
avec une sorte de cruel bon sens : « En quoi le fait d’avoir un progr
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ouvellent largement la Tellforschung. « Ils ne se
demandent
plus si Tell a vécu, mais se préoccupent surtout de la fonction vivan
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ensante que l’on sait. ⁂ J’ai écrit ce livre à la
demande
d’un éditeur de Paris pour un public français qui connaît peu la Suis
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i reçu beaucoup de lettres et de visiteurs. On me
demandait
, des jeunes surtout, d’entreprendre une action politique pour réalise