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miraculeusement, gémir n’est pas un argument. Je
demande
le droit de démolir. Et me l’accorde aussitôt. Sans conditions. Mon r
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e nature à légitimer l’énormité de l’effort qu’on
demande
à ces petits. Là encore, il y a une exagération absurde, une générali
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la main, et dira : je lève la main, — au lieu de
demander
ce qu’on croit. Tout porte à craindre qu’à la faveur du tumulte l’un
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crois aussi qu’on ne peut réformer l’absurde. Je
demande
seulement qu’on m’explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de q
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n publique est pratiquement irréalisable. Ici, je
demanderai
poliment au lecteur de vouloir bien ne point trop faire la bête, sino
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gré ses ratés assez fréquents. Maintenant je vous
demande
un peu quel intérêt il y aurait à perfectionner l’instrument, à l’ada
7
Ce serait de l’art pour l’art. On ne peut pas en
demander
tant aux gouvernements. La réforme scolaire, politiquement, n’est pas
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la congrégation radicale des instituteurs. On me
demande
encore ce que je mettrais à la place. Et parce que je ne propose rien
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triomphe grossièrement. J’aurais voulu vous voir
demander
à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la royauté a
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ts suivront infailliblement. Par exemple, je vous
demande
une fois pour toutes si vous tenez, oui ou non, M. W. Rosier, auteur
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cachées aux agités ; la nature par exemple. Je ne
demande
pas qu’on nous enseigne le goût de la nature. Mais qu’on nous laisse
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ver l’école actuelle, pour un temps, nous pouvons
demander
au moins qu’elle offre un cadre au lieu de l’imposer, et qu’elle cess
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alières, au Conseil de l’Europe, en juillet 1972,
demande
deux choses que je tiens pour décisives : « Régionaliser aux degrés p
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ns leurs propres écoles, qui ressemblent à ce que
demande
Ivan Illich : une classe unique, les aînés aidant les plus jeunes à a