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ion d’habitants » — précision ridicule, car on se
demande
de quoi ces gens pourraient bien « vivre », c’est-à-dire se nourrir,
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l’éventualité d’une véritable banqueroute, il est
demandé
au gouvernement et au Parlement de définir très prochainement une nou
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donne le barrage d’Assouan. Aujourd’hui, l’Égypte
demande
à l’Unesco d’étudier d’urgence ses conséquences néfastes. Il retient,
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stion « d’adapter Paris à l’automobile » comme le
demandait
naguère le deuxième président de la Ve République ; mais, au contrair
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mémoire, de plaisir — et celle des manipulés, qui
demanderont
seulement, au début, si leur metteur en ondes est de droite ou de gau
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ofesseur Dennis Meadows et son équipe du MIT à la
demande
du club de Rome. L’éditeur français Fayard en a fait Halte à la crois
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que ou à mazout. — Et les risques de radiations ?
demandent
quelques névrosés traumatisés par Hiroshima, et certains ennemis bien
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le choix et que nous ne pouvons plus attendre. La
demande
d’électricité double tous les sept ans, c’est un fait établi, et nous
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sistent dans leur méfiance d’ignorantins et leurs
demandes
d’enquêtes sérieuses, alors qu’on se tue à le leur répéter : « Toutes
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que pendant trente-cinq à quarante ans, mais nous
demandons
non sans arrogance aux générations qui nous suivront de surveiller se
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git plus de fournir, mais de vendre, de suivre la
demande
, mais de la susciter. » (1970) Notre affaire immédiate, c’est de pous
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ns, de réduire au marketing. Pour faire face à la
demande
en électricité dont on assure, sans nul souci de vraisemblance, qu’el
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ment se poursuivent… il faudra pour répondre à la
demande
d’énergie d’une population quadruplée construire 3000 groupements de
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elui qui pose des questions simples et naïves, je
demande
: « Concorde, à quoi est-ce que ça sert ? » On m’assure que cet appar
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rgument proprement scandaleux ! Faut-il, comme le
demandait
un Premier ministre, supprimer toute limitation de vitesse sur les au
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n 1975 (– 0,6 % pour les ménages, — 5,8 % pour la
demande
industrielle). Or on annonçait, en Suisse comme en France et aux USA,
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la Terre depuis plus de cent ans, quand nous lui
demandons
aujourd’hui : « Qu’as-tu fait de ton territoire, de ses paysages, et
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dit la science de cette fin du xxe siècle. Nous
demanderons
aux futurologues ce qu’ils estiment possible pour demain, mais aux pr
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musant d’aller plus vite, et donc commencent à se
demander
à quoi cela sert. Supposez que leur plaisir nouveau et principal soit
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le trajet et piloter votre voiture, les océans ne
demandaient
qu’à fournir des quantités illimitées de steaks aux algues. On acheta
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nditionnelles. Car autant il est nécessaire de se
demander
ce qui résultera de ce que l’on entreprend, et de poursuivre ou non e
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rs sur une Nécessité impersonnelle, qu’on peut se
demander
si les « modèles » que manipulent les futurologistes ne jouent pas un
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c’est la qualité de la vie. Si bien qu’on peut se
demander
si le dogme de la croissance industrielle n’est pas devenu sacro-sain
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ndi contre « la route meurtrière », au lieu de se
demander
qui l’a faite et pourquoi, et si son prix valait vraiment les avantag
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est le tournant du siècle) « il n’y avait pas de
demande
pour les automobiles ». Phrase inouïe, constat vertigineux, aveu du s
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. Il a quarante ans. Pour remédier à l’absence de
demande
, voire à la « répugnance du public devant la machine », il imagine le
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’est acheté une voiture. Le dimanche soir, je lui
demande
: où as-tu été ? qu’est-ce que tu as vu ? qu’est-ce que tu as fait ?
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ent est à jamais perdu. L’auto, qui a provoqué la
demande
de pétrole, lequel arrive par mer en Occident, est responsable de la
29
’une fin possible du jeu de l’offre auto et de la
demande
pétrole ; mais, en même temps, de se préparer à la relève qu’on sait
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, qui empeste, et pour laquelle « il n’y a pas de
demande
», au point de rendre cette même machine bientôt acceptable, puis dés
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approche où elles seront atteintes. » On peut se
demander
jusqu’à quel point Ford est conscient des buts et de l’avenir de son
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ore que son travail aux lois d’une offre et d’une
demande
sans rapport avec ses désirs réels, et dont il subit docilement l’abs
33
’une puissance qui échappe à nos psychologies… On
demande
s’il est intelligent. Ne voit-on pas qu’un homme intelligent, si cela
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e ce qui limite la liberté de l’homme. Si l’on me
demande
: — Serons-nous assez nombreux à croire cela ? (ou à me croire ?) Le
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ec ses énergies, son astuce et sa foi, reste à se
demander
quelles sont ses chances… Le grand tort que nous font les sondages d’
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en lui-même et forme un tout organique », ils se
demandent
si l’État est une forme (au sens d’Aristote) ou une substance, un êtr
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n. On se passe une lorgnette, une saucisse. On se
demande
l’heure. Parfois un bruit de houle parvient par les baies ouvertes, c
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i-slogans, on refuse d’imaginer des solutions qui
demanderaient
un engagement délibéré. On dirait que l’on trouve précis tout ce qui
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es habitants plus et mieux que le petit État ? se
demandait
Herman Kahn en 1973148. Et de constater que « la France n’a pas une é
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t où ils s’étaient engagés à soutenir les mesures
demandées
par de nombreuses Associations civiques contre les pollutions de tout
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demment dans l’esprit des contemporains : si l’on
demande
à l’homme de la rue de définir les Basques ou les Flamands, les Occit
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es habitants plus et mieux que le petit État ? se
demande
H. Kahn. Et de constater que « la France n’a pas une économie nécessa
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es ; monocultures. Le traitement de ces problèmes
demande
que les régions soient dotées de pouvoirs de décision, c’est-à-dire d
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e, certes plus rares, mais non moins vitaux), ils
demandent
l’intervention d’autorités continentales, dont on a vu qu’elles ne po
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des relations humaines, et des décisions qu’elles
demandent
. Car ce qui importe, pourquoi ne pas le dire une fois de plus, c’est
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raison le fatigue. Au député à la Convention qui
demandait
la départementalisation de la France « pour faciliter l’administratio
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hance qu’on le voie jamais. » Désastre pur ? Mais
demandez
-vous ceci : qu’est-ce que les habitants de l’Hexagone ou de la Peau d
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— Dépasser ce qui est… vers quoi ? On pourrait se
demander
s’il n’est pas très dangereux de vouloir dépasser un régime quand le
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976. Edgar Faure, dès le début de la crise, avait
demandé
que l’on régionalise l’emploi. 179. Cf. ma Lettre ouverte aux Europ
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’on veut, et trop souvent, pour ce que l’État lui
demande
. Longtemps elle a fait des citoyens pour la nation seulement. Nous av
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e l’État-nation. Quand, en décembre 1970, le pape
demande
au dictateur de l’hypercatholique Espagne la grâce des autonomistes b
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n. Je trouve là Carlo Schmid et des amis. Je leur
demande
de me suggérer un incipit. Et Carlo Schmid sans hésiter prononce : «
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ogne, la Bretagne, l’Euskadi et le pays de Galles
demandent
à devenir « immédiats à l’Europe ». Contrecoups en Yougoslavie, en Uk
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à une question que je ne cesse de me poser. Vous
demandez
qui va réaliser mon plan. À vrai dire, il y a toutes raisons de redou
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stes, médusés par tant d’audace, en oublièrent de
demander
au ministre quels caractères spécifiques distinguaient le sous-marin
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volte des matelots de Cronstadt coupables d’avoir
demandé
que les dirigeants soviétiques « tiennent compte de l’avis des ouvrie
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des mesures conservatoires de l’Humain, quelqu’un
demanda
: « Pourquoi voulez-vous donc que ça dure ? » Question morbide, mais
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décadence d’une société commence quand l’homme se
demande
: « Que va-t-il arriver ? » au lieu de se demander : « Que puis-je fa
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demande : « Que va-t-il arriver ? » au lieu de se
demander
: « Que puis-je faire ? » À ces deux questions, curieusement, il n’es
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évolution, c’est le même mot. Je ne vais pas vous
demander
de devenir tous des saints. (Pourtant, ce serait la solution.) Je ne