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rce à choisir notre avenir, et par là nous met en
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de formuler une politique de l’homme et de l’humanité. J’insiste : ce
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pas elle-même. Cette question, et surtout qu’elle
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sans réponse, voilà qui devrait nous effrayer vraiment, parce que cel
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lus pour ma part que s’il y a un avenir, et qu’il
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ou redevienne européen, la pensée d’Alexandre Marc est promise à beau
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politique, qui s’exprime dans la collégialité. Je
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convaincu que l’expérience suisse ne saurait offrir à l’Europe rien d
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absolu de la société industrielle était donc — et
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encore pour la majorité de nos contemporains — la croissance sans loi
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de communiquer sans l’expliquer, car son contenu
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inavouable même s’il est fascinant comme une drogue. Et n’est-ce pas
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blic. Nous en avons parlé avec l’écrivain dans sa
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de Pouilly, en France : « Le pays dont je préfère me plaindre », comm
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e disparaître, mais le besoin « d’être ensemble »
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vital. […] Hitler a répondu à la question centrale du siècle, qui est