1
nne surprend, déroute. Le ton, peut-être. Le fond
demeure
ce qu’il était, car il s’est toujours agi pour moi d’une présence au
2
uelques mois se trouve fondé un mouvement dont je
demeure
convaincu qu’il se révélera le plus fécond de notre temps — sous d’au
3
alisme dont mon pays est le produit, et auquel je
demeure
profondément attaché. La réalité est faite d’antinomies, dont il faut