1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 se à regretter) que l’Essai de Denis de Rougemont demeure trop constamment abstrait. Les paysages sont, eux aussi, des agents d
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 éputés élus par le peuple. Mais cet emploi du mot demeure exceptionnel, et n’éveille pas du tout chez les Suisses l’ensemble de
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 ’étendue de ses pouvoirs, le Conseil fédéral n’en demeure pas moins soumis à l’opinion publique, et se montre très soucieux de
4 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
4 . Au reste, la décentralisation de l’enseignement demeure extrême. Le gouvernement cantonal émet des directives générales, mais
5 sé ou y professent encore. Mais la science pure y demeure en contact étroit avec les applications industrielles, les instituts
5 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
6 olitiques ou sociales. Cependant, bien que l’État demeure officiellement laïque, il ne l’est plus d’une manière agressive, ou m
6 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
7 é à la pensée du Bâlois Karl Barth, et C. G. Jung demeure sans rival dans la psychologie analytique. Il y aurait certes beaucou
8 tralité pratiquée dans le reste de l’Europe. Elle demeure une institution unique en son genre. Et il n’est pas concevable qu’el
9 ’OIR, le BIT) et dans la Cour de La Haye. Mais il demeure plus que probable que la population rejetterait toute loi visant à l’