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rce à choisir notre avenir, et par-là nous met en
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de formuler et de vouloir une politique de l’homme et de l’humanité.
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nt d’optimisme, pour autant que le tiers-monde ne
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pas ce qu’on appelle « sous-développé ». Car, pour que le niveau de v
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bstinent à répéter les promoteurs. Le risque n’en
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pas moins inacceptable, car l’accident s’il se produit, sera presque
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it ne pas être entraîné dans sa mort. Le problème
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donc de savoir en quel point du système l’homme peut intervenir. C
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oyons s’enfoncer les majorités silencieuses. Elle
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donc à la merci de la première initiative convaincante — ou d’un scan
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Occidentaux tiennent pour scientifique. Or, elle
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matérialiste et mécaniste, quand la science est depuis trente ans éne
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vue de la pure connaissance. Mais sans elle, tout
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théorique et virtuel. L’agir et le savoir, variables conjuguées, sont
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nomène d’envergure mondiale, tel fut l’homme, tel
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son mystère. Les effets fracassants déclenchés dans le siècle par son
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viens d’admirer les trésors patinés dans la haute
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familiale des Goethe109 ». L’accession d’Hitler au pouvoir se produis
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e disparaître, mais le besoin « d’être ensemble »
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vital. La communauté est détruite par toutes les forces de dissociati
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finalités La prévision calculée, scientifique,
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indispensable pour nous rappeler les contraintes matérielles existant
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c’est eux, qui signent illisible leurs « mises en
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» à tout hasard. Et surtout, si l’État c’était nous, chacun de nous c
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et de battement de cœur — cependant que l’esprit
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lucide. Ce que j’éprouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’
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dre naturel, détruits, ni le voisinage humain qui
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inconnu : tout est subi, dans la mauvaise humeur et le concert à tous