1 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
1 ait faire. Je recopie mon brouillon d’une page et demie . À cette heure où Paris exsangue voile sa face d’un nuage et se tait
2 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
2 t entre eux, avec leurs ruines, dans ces villes à demi mortes ? Que penseront les Européens, d’ici quelques années, lorsqu’i
3 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
3 paraît vide. Il doit être environ neuf heures et demie . J’hésite sur le seuil : va-t-on me servir encore ? Au fond de la sal
4 dire : « Voilà le diable ! » Ils se retournent à demi et rient. J’ai fui. Pas d’autre restaurant dans ce quartier. Je suis
5 idi les Variations Goldberg. Pendant une heure et demie , les nerfs aussi vibrants que les cordes du clavecin, combien de fois
6 et c’est juste neuf fois sur dix. Huit heures et demie . L’équipe de nuit s’installe sans bruit dans les bureaux presque dése
4 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
7 aris. Kaiser a fait construire en quatre jours et demi un cargo Liberty de dix-mille-cinq-cents tonnes. On dirait du Disney,
5 1946, Journal des deux mondes. Virginie
8 t d’abord un grand bain d’air pur, après un an et demi dans ces bureaux plus étouffants en hiver qu’en été. Oak Spring (V
6 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
9 terme d’un parcours rectiligne d’un kilomètre et demi , sans changer de largeur. (Seuls les trottoirs se rétrécissent.) Cett