1 dans la mesure où nous voulons rester cela, et le devenir de mieux en mieux, que nous serons grands devant l’Europe, parce que

2 aire, nous essayons plus ou moins sérieusement de devenir nous aussi une nation, notre compte sera vite réglé. Car : 1° nous pe

3 même trop pour que j’insiste… 2° nous ne pouvons devenir qu’une des plus petites nations de l’Europe, et une nation divisée co

4 eul espoir, à nous Suisses, c’est de rester et de devenir de mieux en mieux le seul espoir de l’Europe déchirée. a. « Le seul

5 qui n’est pas le service du Dieu vivant se trouve devenir une servitude. Un romancier communiste doit se préoccuper des résulta

6 semblait aussi que le langage des écrivains était devenu , ou était resté, le langage d’un très petit nombre, ou d’une caste, a

7 dividu sans qualités ni défauts bien marqués a pu devenir l’incarnation du rêve des masses, c’est uniquement parce qu’il a su r

8 point qui serait au-delà de notre monde pourrait devenir le point de convergence de tous nos actes et de tous nos espoirs. Mai

9 à creuser en profondeur. Tout ce qui est inutile devient ennuyeux et lourd, car il ne faut pas songer au talent des acteurs po

10 mme réelle. Iseut épousée cesse d’être Iseut pour devenir madame Tristan, ce qu’on ne saurait imaginer. Pour conserver leurs il

11 ot d’ordre « Défense de la personne humaine » est devenu le slogan par excellence des hommes d’État démocratiques. Ce fait, et

12 fin de la République romaine, quand le César est devenu un dieu. Et c’est l’échec de cette religion d’État, confondu avec l’é

13 leurs hiérarchies, leurs assemblées. Ceux qui en deviennent membres y reçoivent une assistance matérielle, mais ils y trouvent au

14 l nouveau. Prenons le cas social de l’esclave qui devient chrétien. Alors que l’État romain lui déniait toute activité libre et

15 il reçoit une mission nouvelle, une vocation. Il devient le serviteur du Maître qui le libère. Ainsi, spirituellement et socia

16 orcée à certains historiens méticuleux. Mais elle devient presque évidente dès que l’on réfléchit aux deux questions suivantes 

17 de la Transylvanie convertie au calvinisme et qui devient l’âme de la résistance au centralisme des Habsbourg, qu’il s’agisse d

18 y a plus aucune liberté. Tous les abus de pouvoir deviennent possibles. Certes, l’on crée des ersatz de personnes, de personnalité

19 l’Europe. » Oui, certes. Mais, en fait, que sont devenues ces libertés illustres et antiques, ces privilèges démocratiques qu’o

20 ache qu’à l’aspect matériel des choses. Mais elle devient un avantage dès qu’on la considère dans la perspective de notre missi

21 plement une garantie de nos privilèges. Mais elle devient notre meilleure sûreté dès qu’on la considère comme une mesure d’inté

22 Ils ne continueront pas toujours, car leur folie devient évidente aux yeux de tous. » Plt D. de Rougemont 6. Bien entendu, s

23 vraie que dans la Vérité elle-même, cette Vérité devient ésotérique aux yeux des masses. Déjà, dans la moitié de l’Europe, ell

24 u vend) est défini par son action, revêt un rôle, devient une persona ; tandis que l’homme qui subit un acte (qu’il soit acheté

25 oût de cette année : le péril où nous sommes peut devenir notre chance. Il nous sort de nous-mêmes et de nos préjugés, il nous

26 ccupent les fauteuils. Les organismes centraux ne deviennent centralistes (au mauvais sens) que par la faute des fonctionnaires qu

27 la Suisse en politique. De plus, la Suisse n’est devenue neutre qu’à partir d’un certain moment de son histoire. Or ce qui est

28 tat totalitaire, Carl Schmitt, juriste catholique devenu national-socialiste. 14. « Nous ne sommes pas gouvernés, nous sommes

29 dait ses mesures. Et quand le lieu du grand débat devient enfin l’Église et sa réforme, courant toujours au plus pressé, au plu