1 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
1 elle la Publicité. C’est pourquoi la conversation devient parfois si difficile entre un pays qui a fait une révolution et ses v
2 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le mensonge allemand (16 août 1945)
2 ome of my best friends are Jews… ». La phrase est devenue proverbiale en Amérique, et c’est fort bien : on ne tue les préjugés
3 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
3 e la paix avec les globules blancs, et les tigres devenir végétariens. Mais je dis que les militaires n’ont plus qu’à se consac
4 es vont rétablir le nomadisme ; les grandes cités deviendront mobiles — leur seule défense imaginable — et la circulation sera dégo
4 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
5 ne grande flèche rouge rase les cimes en silence, devient oiseau, devient petit avion luisant au cirque lumineux des collines,
6 rouge rase les cimes en silence, devient oiseau, devient petit avion luisant au cirque lumineux des collines, et va creuser un
5 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Les résultats de la guerre (21 décembre 1945)
7 nationales ou régionales. Mais si ce gouvernement devient seul détenteur de la bombe atomique, il se voit doté du même coup d’u
8 ait démesurée pour un seul peuple, tandis qu’elle devient effective à l’échelle planétaire, précisément. Voici donc le danger d
6 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
9 n eût dit qu’ils réfléchissaient. La conversation devint générale. Le savant se montrait plein d’humour. On n’avait jamais été
7 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Pour la suppression des visas (23 avril 1946)
10 êtres un choix farouche, irrévocable. Se déplacer devient un geste naturel, et partir annonce revenir comme on prend un billet
8 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
11 rmé en ouvrant le feu. L’imposture communiste est devenue manifeste. Il ne reste à ses partisans, dans nos démocraties, qu’à ni