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ès universelle. ⁂ Le terme de « travailleur » est
devenu
dans le monde moderne à peu près synonyme de travailleur industriel.
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ité, n’est plus une mystique de classe : elle est
devenue
quasi universelle. Que le « travailleur » soit considéré comme une ma
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alable se déplace. Il passe dans l’opposition. Il
devient
révolutionnaire. En tant que tel, il appartient, de fait et de droit,
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qu’avait prise, à leur époque, l’argent. L’argent
devenait
le principal facteur de différenciation entre les hommes. Du moins le
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it de vue les hommes, dans leur diversité. L’État
devint
une réalité indépendante, l’expression de la collectivité des égaux.
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éfinir9, n’est pas un état, mais un acte. L’homme
devient
personne dans la mesure où il se manifeste concrètement, d’une façon
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nce sera divisée en une vingtaine de régions, qui
deviendront
les circonscriptions administratives et politiques essentielles du pa
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— que nous ne demanderons pas à nos adhérents de
devenir
des « révolutionnaires professionnels », c’est-à-dire des êtres métho
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rsel, et quand bien même tous les hommes seraient
devenus
des personnes, la tension, loin de disparaître, atteindrait au contra
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La nouvelle éducation devra éviter que les hommes
deviennent
des victimes d’une seule tendance et passent au rang d’organes ; il s
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ente et empoisonne la vie morale de la nation. Il
devient
un foyer de fièvre et un facteur d’énervement. Les deux forces antago
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venu d’opposition de sa Majesté le Radicalisme et
deviennent
vraiment les deux pôles de la nouvelle vie politique. La carte des pa
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dessinent. Mais alors, si la droite et la gauche
deviennent
les vrais foyers de la vie publique, et si d’autre part leurs mystiqu
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elon vous, une caricature. Il faut que nos luttes
deviennent
des luttes spirituelles, dans le sens où Rimbaud a dit : « Le combat
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eur brutalité naturelle dans des domaines où elle
devienne
féconde. Lui. — Je vous souhaite bonne chance ! Moi. — Voulez-vous q
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qui les avaient légalement pris au piège, et qui
devenaient
leur premier créancier38. Encore une fois, je n’ai fait que résumer l
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ment, et ce pouvoir est destiné à s’écrouler et à
devenir
inefficace sitôt que se manifestera une nouvelle autorité. Dans les p
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u’il devait ordonner et commander, la réalité lui
devient
effrayante. (On a toujours beaucoup plus peur loin du combat qu’en pl
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adapter aux faits nouveaux l’appareil du pouvoir
devenu
trop rigide. Il s’en remet aux mécanismes qui roulent encore grâce à
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ement l’affirmation d’une nouvelle autorité. Elle
devient
pratiquement inévitable lorsque l’autorité réelle n’est plus derrière
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ont de misérables sophismes. Mais si la politique
devient
ce que nous voulons qu’elle soit, la question d’en faire ou de n’en p
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s l’intervalle des crises économiques, les partis
deviennent
des académies ou des écoles de rhétorique vulgaire, et les questions
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s’il faut en faire ou non. En France44, elle est
devenue
la science ou l’art, également impurs et maléfiques, des rapports de
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entiments incontrôlés, — c’est-à-dire qu’elle est
devenue
une culture de la mauvaise foi et de la haine stérile. Ailleurs, peut
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merce, les autres s’y abandonnent avec délices et
deviennent
ces êtres absurdes et maléfiques qu’on nomme des politiciens, ou ces
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un état de guerre, l’étatisme a pu — et même dû —
devenir
du premier coup totalitaire. L’économie et l’opinion totalement étati
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mes en train d’en voir un bel exemple.) Mais pour
devenir
totalitaire, l’État ne peut se fonder sur des bases purement matériel
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exciter immédiatement : c’est ainsi que les Juifs
deviendront
les 200 familles du racisme57, les « ennemis de la nation ». 2° Lutte
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ne de la guerre, on ne peut empêcher le pire, qui
devient
dès lors fatalité. Le jacobinisme, l’esprit centralisateur, le princi
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stérile et abstrait — en temps de paix — que pour
devenir
la guerre concrète. Tout cela ne se justifie que par la guerre. Hors
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ation de l’Empire ne reste possible que si l’État
devient
ce qu’on appelle « un État fort ». César, puis Auguste et ses success
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) de la dictature « nécessaire ». L’État, déifié,
devient
l’État totalitaire, providence de tous les sujets, à charge d’une obé
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t ne connaissent pas leurs justiciables. Ils sont
devenus
— comme on le vit à Rome — des rentiers du sol, des exploiteurs, et n
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ses de la cour et de l’armée. Les princes et rois
deviennent
ainsi les nouveaux centres de développement du capitalisme. Sous leur
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at, qui lui impose des lois générales. L’État est
devenu
l’arbitre souverain des conflits sociaux, et la notion de Bien commun
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la domesticité des riches, y faire son beurre, et
devenir
à son tour « capitaliste », usurier, s’élevant parfois jusqu’au rang
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t que la lutte de Colbert contre les financiers —
devenus
les symboles de l’injustice et du vol — animée par une volonté de ret
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re des fascistes ou des communistes. L’abstention
devient
impossible : c’est alors qu’on invente la non-intervention. Ce tour d
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es en lesquels la conscience d’un ordre à établir
devient
assez aiguë pour s’irradier ensuite dans la société qui incarne cet o
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aussi une objection inverse : le Conseil suprême
deviendrait
la suprême tyrannie, celle qui contraint les esprits et non plus seul
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ui d’une tactique politique. Ce n’est pas du tout
devenir
esclave d’une doctrine, mais au contraire, c’est se libérer et assume
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Je l’ai dit ailleurs : un gant qui se retourne ne
devient
pas pour si peu une main vivante et agissante. Un libéral qui se soum
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ibéral qui se soumet aux directives d’un parti ne
devient
pas pour si peu un penseur engagé. Et il ne faudrait pas que ces trah
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uvement originel, est libérale, irresponsable, ne
devient
pas libératrice et responsable du seul fait qu’elle se met « au servi