1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 , et pour sa famille un prénom ; à l’étranger, il devient toute une race. Serait-ce vrai ? se dit-il. Le voient-ils mieux que m
2 ie de définir l’originalité de notre canton, tout devient si complexe et souvent si bizarre aux yeux de la plupart des étranger
2 1948, Suite neuchâteloise. III
3 coup jusqu’au milieu du xve siècle. Au-delà tout devient fort étrange. Voyez plutôt ces noms relevés au hasard dans le rôle de
3 1948, Suite neuchâteloise. IV
4 , au début du xixe siècle, deux sont en train de devenir françaises et une anglaise. Voilà peut-être un résumé assez fidèle de
4 1948, Suite neuchâteloise. V
5 n ; mais dans la Suisse ; mais dans l’Europe, que devient ce fil rouge que je croyais tenir ? Où vont se perdre les sentiers de
6 sse dans l’écorce d’un arbre, au fond du parc, et devenait protestante en secret. J’ai lu ces pages de confidences pudiques, ple
5 1948, Suite neuchâteloise. VI
7 Gide s’éclaircit la voix pour observer que le jeu devenait bien personnel, et proposa des bouts-rimés.  
6 1948, Suite neuchâteloise. VII
8 de ses compagnes. Si je rencontrais ses yeux, que deviendrais -je, et si elle devinait mon sentiment ? Pourtant la semaine prochaine