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os littératures, quelque profanes qu’elles soient
devenues
, n’en conservent pas moins le pouvoir (conscient et assumé ou non) de
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. La poésie, dès le xiie siècle des troubadours,
devient
chant du cœur solitaire ; la tragédie, quittant l’amphithéâtre ou le
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e, quittant l’amphithéâtre ou le parvis du temple
devient
divertissement forain ou cérémonie de Cour ; et le récit en prose, ap
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e Paré… C’est assez pour imaginer ce qu’aurait pu
devenir
une culture calviniste, si elle n’avait été écrasée, dès les première
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efoulés, des angoisses ou des espérances qui vont
devenir
autant de réalités actives de la société. Telle est l’inéluctable res
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celui d’un parti politique. Ce n’est pas du tout
devenir
l’esclave d’une doctrine, mais au contraire c’est se libérer et accep
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ture est « libérale » au sens d’irresponsable, ne
devient
pas libératrice et responsable du seul fait qu’elle se met « au servi
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rtisane, — pas plus qu’un gant qui se retourne ne
devient
pour si peu une main vivante. Du seul fait de leur style d’écriture e