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te pas, bien entendu, sur l’essence de Dieu et du
diable
, mais sur leur existence qui, selon lui, diminuerait ou supprimerait
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d’existence réelle. Il ne faut pas que Dieu et le
diable
existent, car alors la responsabilité de l’homme en pâtirait. Nous so
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n de ce qu’il fait avec son corps — cette part du
diable
— ne saurait engager le salut de son âme : « Point de péché au-dessou
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ut d’abord, dit Marcabru, « Il lie partie avec le
diable
, celui qui couve Faux Amour ». (Et en effet, le diable n’est-il pas l
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e, celui qui couve Faux Amour ». (Et en effet, le
diable
n’est-il pas le père de la création matérielle… et de la procréation,