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née dans le corps, partie de l’homme créée par le
diable
. D’où la nécessité de s’abstenir non pas de toutes relations érotique
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e écrit pendant la guerre à New York, La Part du
diable
, nous allons vers le règne de l’ennui mécanique et technique, dont l
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jours-ci ! Il ne faut pas donner l’avantage au
diable
En consultant justement la traduction anglaise de ce livre, j’ai v
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e vous insistez beaucoup sur l’opposition Dieu et
diable
, sur l’opposition Bien et Mal. Vous faites notamment une sortie contr
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e trouve ça très important. Non. Dans La Part du
diable
, j’opposais au fond la créativité humaine, la responsabilité personn
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ce que j’appelais le pouvoir de « décréation » du
diable
. Je suis en train de préparer une cinquième réédition de ce livre en
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i presque terminée, et dans laquelle je décris le
diable
comme, au fond, l’augmentation de l’entropie — vous voyez ce que je v
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ce, une analogie. Il est certain que pour moi, le
diable
, c’est une espèce de symbole de tout ce qui tend à détendre les énerg
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ntage aux moyens : ça serait donner l’avantage au
diable
. ap. Rougemont Denis de, « [Entretien] La révolution des meilleur