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vérences ». On a vu le rôle de la Femme, appât du
diable
pour entraîner les âmes dans les corps. En retour (en revanche, dirai
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e chrétienne, décrétant la damnation éternelle du
diable
et des pécheurs endurcis, aboutit à un dualisme final, bien qu’à l’en
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n de ce qu’il fait avec son corps — cette part du
diable
— ne saurait engager le salut de son âme : « Point de péché au-dessou
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ut d’abord, dit Marcabru, « Il lie partie avec le
diable
, celui qui couve Faux Amour ». (Et en effet, le diable n’est-il pas l
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e, celui qui couve Faux Amour ». (Et en effet, le
diable
n’est-il pas le père de la création matérielle… et de la procréation,
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aurait ainsi pour origine non point Dieu, mais le
diable
. 41. Ce chiffre est archétypique. Jésus est demeuré quarante jours a