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ra par la lecture des écrits du jeune Marx sur la
dialectique
hégélienne. De nos jours, le vocabulaire technique s’est transformé,
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uppression de ces derniers, loin de relever d’une
dialectique
normale entre contrainte et liberté, trahisse un fléchissement vital.
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est d’un type organique plutôt que rationnel, et
dialectique
plutôt que simplement logique. Elle échappe aux catégories géométriqu
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pensée fédéraliste, sur cette interaction, cette
dialectique
, cette bipolarité, comme on voudra, qui est le battement même du cœur
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ar la devise de la Suisse, devise paradoxale ou «
dialectique
» dans sa forme : « Un pour tous, tous pour un. » En effet, « Un pour
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me » du dollar. Qu’on ne rie pas : il s’agit de «
dialectique
». Et qu’on ne hausse pas les épaules : il s’agit d’un retour en forc
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la justice en embrouillant tout, au nom de fleur
dialectique
. Pour ma part, j’essaierai de débrouiller quelques faits, au nom de l
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re. Cela s’est vu. C’est dans cette dégradation «
dialectique
» apparemment inévitable3, que réside la lourde réalité du problème q
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ient d’Europe ; comme en venaient le matérialisme
dialectique
, la technique révolutionnaire, et l’idée d’une justice sociale établi
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péen : c’est l’homme de la contradiction, l’homme
dialectique
par excellence. Nous le voyons dans ses plus purs modèles, crucifié e
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ussie, l’État justifie ces scandales au nom de la
dialectique
marxiste : c’est ainsi que Staline a justifié la liquidation des koul
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la Suisse dont tout le système est fondé sur une
dialectique
: un pour tous, tous pour un. Cela signifie d’une part l’élan des per