1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 ré au cercle. » L’Européen commente ainsi ce bref dialogue  : « Dans ces deux voies de réalisations de soi, l’une allant du cercl
2 les deux cas l’Autre s’évanouit ; il n’est pas de dialogue possible, ni d’appel, ni donc de vocation, ni par suite de personne.
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
3 uir, avec l’Europe, la meilleure chance d’un vrai dialogue illuminant entre l’Occident et l’Orient. Or voici justement ma second
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
4 ’Ancienne Alliance le rôle collectif d’Israël. Le dialogue de Personne à personne entre le Dieu qui appelle et l’âme qui répond,
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
5 pas compte : tout est magie à l’origine, tout est dialogue avec les forces naturelles qu’il faut séduire tout en leur obéissant.
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
6 ave nots. Tout se ramène alors, en apparences, au dialogue millénaire de l’Orient pauvre et populeux mais religieux, et de l’Occ
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
7 e XIOù l’Aventure et la Voie se rejoignent Le dialogue nécessaire et possible Entre l’Orient et l’Occident jusqu’à ce siè
8 ntre l’Orient et l’Occident jusqu’à ce siècle, le dialogue a toujours échoué, soit qu’il ait tourné court à peine amorcé, soit q
9 s, d’aveugle exploitation de l’un par l’autre, le dialogue des esprits n’a pas eu lieu. Pourtant, le xixe siècle devait créer s
10 te du sentiment d’inégalité qui s’opposait à tout dialogue fécond. En même temps qu’il devient possible, le dialogue apparaît né
11 fécond. En même temps qu’il devient possible, le dialogue apparaît nécessaire. Et j’entends bien un vrai dialogue au niveau des
12 ue apparaît nécessaire. Et j’entends bien un vrai dialogue au niveau des religions et des philosophies, c’est-à-dire au niveau c
13 s, c’est imposer d’emblée une base occidentale au dialogue que l’on souhaite sur pied d’égalité, et c’est en quelque sorte piper
14 es hommes politiques, ni même des sociologues. Le dialogue vrai ne saurait donc s’instituer qu’au niveau des options de base, qu
15 , qui sont d’ordre métaphysique. Difficulté du dialogue Prenons un exemple précis : celui de l’aide technique que l’Occide
16 faut l’envisager avec franchise, si l’on veut un dialogue valable. Un autre exemple peut faire sentir les difficultés inhérente