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romancier et au lecteur, pour qui assiste à leur
dialogue
intime, il apparaît qu’une convention tacite, ou mieux, une sorte de
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lui du roi Marc pour Iseut. Ici se place le court
dialogue
si dramatique entre l’ermite et les deux repentants : Amors par forc
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part la « réminiscence du Beau » dont parlent les
dialogues
platoniciens, et d’autre part la nostalgie du héros celte revenu du C
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Et saint Augustin, avec lequel Pétrarque tient ce
dialogue
fictif, lui répond : Tu connais très bien ton mal. Tout à l’heure,
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sez d’un décret de l’officieux Boileau — le court
Dialogue
sur les Héros de Roman — pour réduire au silence et à l’oubli, jusque
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par Bembo et par Baldassare Castiglione dans ses
dialogues
du Cortigiano, se réduisait à une « mondanité » délicate et toute héd
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ne avec lui dans la dualité, qui n’est plus qu’un
dialogue
de grâce et d’obéissance. Et le désir de la plus haute passion se voi
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mais qui offre une alliance sans fin, initiant un
dialogue
vrai. Alors l’angoisse comblée par la réponse, la nostalgie comblée p