1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
1 romancier et au lecteur, pour qui assiste à leur dialogue intime, il apparaît qu’une convention tacite, ou mieux, une sorte de
2 lui du roi Marc pour Iseut. Ici se place le court dialogue si dramatique entre l’ermite et les deux repentants : Amors par forc
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
3 part la « réminiscence du Beau » dont parlent les dialogues platoniciens, et d’autre part la nostalgie du héros celte revenu du C
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
4 Et saint Augustin, avec lequel Pétrarque tient ce dialogue fictif, lui répond : Tu connais très bien ton mal. Tout à l’heure,
5 sez d’un décret de l’officieux Boileau — le court Dialogue sur les Héros de Roman — pour réduire au silence et à l’oubli, jusque
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
6 par Bembo et par Baldassare Castiglione dans ses dialogues du Cortigiano, se réduisait à une « mondanité » délicate et toute héd
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
7 ne avec lui dans la dualité, qui n’est plus qu’un dialogue de grâce et d’obéissance. Et le désir de la plus haute passion se voi
8 mais qui offre une alliance sans fin, initiant un dialogue vrai. Alors l’angoisse comblée par la réponse, la nostalgie comblée p