1 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
1 ité, est fournie par les régimes totalitaires. La dictature totalitaire est la brutalité même, en ce qu’elle est fondée sur le pr
2 violence en la confondant avec la brutalité, les dictatures totalitaires tentent de requalifier la brutalité en la baptisant viol
3 supporter la vraie violence. Le libéralisme et la dictature affectent l’un et l’autre la violence (spirituelle) du signe moins (e
4 des démocraties est lié à l’éducation ; celui des dictatures à la contrainte. Le seul moyen de prévenir cette contrainte, c’est d’
5 llusion, reconnaissons-le, c’est la théorie de la dictature du prolétariat d’une part, et le ton « brutal » des polémiques de Mar
6 le ton « brutal » des polémiques de Marx. Mais la dictature du prolétariat n’est pour Marx que la riposte nécessaire du socialism
2 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
7 rre et c’est Hitler qui sera bien attrapé ! Trois dictatures menacent nos libertés démocratiques ? Eh bien ! cessons de les exerce
8 ans la marche en rangs. Un peuple qui accepte une dictature se décerne un certificat d’incapacité politique. Ne croyons pas surto
3 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
9 me… Le régime le dégoûte et le repousse. C’est la dictature des butors et des imbéciles. Je lui pose ma question habituelle : Que
10 ens croient trouver un terrain d’entente avec les dictatures qu’ils condamnent en principe. C’est ainsi qu’ils apportent leur peti
11 t, ce qui commande tout, c’est le mécanisme de la dictature totalitaire, c’est la structure du régime. Or, la structure de l’État