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a Rome impériale de ce qui deviendra l’Europe des
dictatures
, des règlements collectivistes uniformisants, de la « raison d’État »
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nsus moral des citoyens. Plus facile d’exercer la
dictature
que de promouvoir et d’éduquer les libertés autoréglées par le sens d
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paraît aller de soi qu’une nation dominée par une
dictature
civile ou militaire (Portugal, Espagne, Grèce il y a quelques années
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de l’URSS). En revanche, aussitôt renversées les
dictatures
grecque, espagnole et portugaise, ces trois pays sont acceptés comme
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idemment impossible dans un monde fini — et de la
dictature
des « impératifs technologiques », devaient résulter l’inflation et l
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de Guerre mondiale par près d’une cinquantaine de
dictatures
à parti unique, en Europe d’abord, puis au lendemain de la décolonisa
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i a réussi à faire main basse sur une nation. Les
dictatures
totalitaires achèvent ce processus. Elles tuent, peut-être pour longt
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a Grèce, le Portugal, l’Espagne, ont liquidé leur
dictature
sans drames sanglants) et par l’affirmation partout réitérée des avan
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frique. Parmi eux les régimes absolutistes et les
dictatures
militaires sont la règle, les démocraties l’exception. L’« idéal » de
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pourrait faire mieux dans un sens salutaire. (Les
dictatures
savent faire beaucoup plus il est vrai, moyennant Auschwitz et le Gou