1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 se à son corps la douce matière. L’air et le sol, dieux rivaux, se le disputent, et il oscille entre l’un et l’autre. Ainsi m
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
2 s tombes de leurs saints une forme d’adoration de dieux protecteurs. Cette croyance se répand, favorisée par la souplesse don
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 a lumière descendante, les prunelles laiteuses du dieu avaient un reflet bleu clair, soudain inquiètes à l’approche de l’inc
4 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 ut dans ses lumières. Architectures ! langage des dieux , ô joies pour notre joie mesurées, courbes qu’épousent nos ferveurs,
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
5 es couleurs, à encadrer des glaces. Et plaise aux dieux que les visages qui s’y reflèteront soient aussi beaux que ceux qu’il
6 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 s généalogies étourdissantes qui commencent à des dieux et finissent aux pierres précieuses en passant par toutes les formes
7 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
7 e, par besoin de définir, par défiance envers les dieux . À chaque regard dans notre miroir, nous perdons une Eurydice. Les mi
8 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
8 i entre en commerce trop étroit avec le ciel, les dieux le vouent au malheur. » Ô cette chambre, où pénètre la facilité atroc
9 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
9 lots perdus sous la coupole errante des prières à dieux perdus. II Je ne sais pas où tu m’entends mais ces hauts murs d’om