1 1953, Articles divers (1951-1956). Une fausse nouvelle : « Dieu est mort » (juin-juillet 1953)
1 urge ; non pas au sens d’un homme, mais bien d’un dieu . Ce dernier trait est capital. On sent qu’il trahit un refus de la ré
2 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
2 n nouveau mythe. Il est comme une invocation à un dieu nouveau, une sorte de « Gott mit uns ! » aussitôt exaucé, puisque par
3 e parler… Et cependant cet esprit national est un dieu bien réel, et que l’on croit vraiment, puisqu’il peut exiger le sacri
4 l. Cette petite phrase dit tout. La nation est un dieu lointain, qui demande beaucoup plus qu’il ne donne, infiniment plus,
3 1956, Articles divers (1951-1956). « Je vivais en ce temps-là… » (janvier 1956)
5 is entré. Boutique de gloire où fréquentaient nos Dieux  ! Nous en connaissions la légende. Apollinaire avait discouru là, dev
4 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
6 final et le personnage sacré. 2. Œdipe et les dieux Freud désigne du nom d’Œdipe le complexe composé dans l’inconscien
7 solide, la puissance du père plus assurée, et le dieu dont le père tient ses pouvoirs plus révéré. Imaginons maintenant un
8 ine se divise elle-même, soit en une pluralité de dieux , comme en Grèce, soit en un couple dieu-déesse, comme en Égypte, soit
9 crète (çatki) qui anime le cosmos et soutient les dieux (en premier lieu Shiva et Bouddha)… est fortement personnifiée : c’es