1 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
1 tations de leurs sages, quelques statues de leurs dieux , ou quelques rythmes de leurs danses. Finalement, que sont les empire
2 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
2 qui vénèrent les vaches. L’homme qui connaît ses dieux se conçoit dans leur ordre et sans autres problèmes, la faim n’étant
3 mprendre la statuaire hindoue : les attitudes des dieux  : qui semblent monotones, ou parfois curieusement affectées, sont des
4 e une « danse des sticks » symbolisant le duel de dieux jumeaux. La musique commence doucement, batterie soutenant deux ou tr
5 ement l’une dans l’autre, tels les animaux et les dieux dans la métamorphose infinie de la Fable. ⁂ Chaque nuit, je sors de m
6 seules dans les temples étroits, intimes avec le dieu , tournant le dos aux passants. Et ces hommes en prière contre un mur.
7 encore ce mystère primitif qui lie l’homme à ses dieux comme une ombre à la nuit ? Ne trouverait-il pas au contraire ce sign
3 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
8 Paul Bourget qui a dit que « Paris en eût fait un dieu  ». Mais ce n’eût été qu’un dieu de salons, un dieu causeur. Jacob Bu
9 is en eût fait un dieu ». Mais ce n’eût été qu’un dieu de salons, un dieu causeur. Jacob Burckhardt à sa manière fut aussi
10 ieu ». Mais ce n’eût été qu’un dieu de salons, un dieu causeur. Jacob Burckhardt à sa manière fut aussi un grand homme invi