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. (Récits symboliques de la vie et de la mort des
dieux
, légendes expliquant les sacrifices ou l’origine des tabous, etc.). O
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e » se substituerait à la leur. Ce n’était pas le
dieu
sans nom du philtre, une force aveugle ou le Néant, qui s’emparaient
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passement infini, l’ascension de l’homme vers son
dieu
. Et ce mouvement est sans retour. ⁂ Les origines iraniennes et orphiq
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ime à la fois le désir de mort. D’autre part, les
dieux
celtiques forment deux séries opposées : dieux lumineux et dieux somb
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es dieux celtiques forment deux séries opposées :
dieux
lumineux et dieux sombres. Il nous importe de souligner ce fait du du
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forment deux séries opposées : dieux lumineux et
dieux
sombres. Il nous importe de souligner ce fait du dualisme fondamental
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et de leur lutte mortelle dans l’homme. Il est un
dieu
de Lumière incréée, intemporelle, et un dieu de Ténèbres, auteur du m
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t un dieu de Lumière incréée, intemporelle, et un
dieu
de Ténèbres, auteur du mal, qui domine toute la Création visible. Des
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opposition dans les mythologies indo-européennes.
Dieux
lumineux : l’Ahura-Mazda (ou Ormuzd) des Iraniens, l’Apollon grec, l’
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s Iraniens, l’Apollon grec, l’Abellion celtibère.
Dieux
sombres : le Dyaus Pitar sanskrit, l’Ahrriman iranien, le Zeus pater
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, n’est que la Nuit. Mais notre jour, aux yeux du
dieu
qui réside par-delà les étoiles, c’est le royaume de Dispater, le pèr
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la nuit de la matière. Issu de la lumière et des
dieux
Me voici en exil et séparé d’eux. Je suis un dieu, et né des dieux M
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eux Me voici en exil et séparé d’eux. Je suis un
dieu
, et né des dieux Mais maintenant réduit à souffrir. Ainsi lamente l
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exil et séparé d’eux. Je suis un dieu, et né des
dieux
Mais maintenant réduit à souffrir. Ainsi lamente le Moi spirituel d
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, et aboutissent à condamner sa vie « finie ». Le
dieu
Éros exalte et sublime nos désirs, les rassemblant dans un Désir uniq
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ieux se détournait des créatures ignorées par son
dieu
. Mais Dieu ne s’est pas détourné. « Il nous a aimés le premier » dans
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iques païennes le sublimaient jusqu’à en faire un
dieu
, et en même temps le vouaient à la mort, le christianisme le replace
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orption de tous en Un, à la fusion totale avec le
dieu
, ou s’il n’y a pas de dieu, comme dans le bouddhisme, avec l’Être-Un
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fusion totale avec le dieu, ou s’il n’y a pas de
dieu
, comme dans le bouddhisme, avec l’Être-Un universel. Et j’appellerai
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-dire la fusion essentielle de l’individu dans le
dieu
. L’individu distinct — cette erreur douloureuse — doit s’élever jusqu
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du mariage. Mais cette ferveur renouvelée pour un
dieu
condamné par l’Église ne pouvait s’avouer au grand jour. Elle revêtit
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mbries et plus tragiques, c’est naturel. Taranis,
dieu
du ciel orageux, supplante Lug, dieu du ciel lumineux. Et bien que la
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el. Taranis, dieu du ciel orageux, supplante Lug,
dieu
du ciel lumineux. Et bien que la doctrine courtoise rejoignît et fît
24
s et de leurs prouesses, remplaçant peu à peu les
dieux
dans les légendes populaires. ⁂ Gaston Paris remarquait avec profonde
25
20. Hubert, op. cit., I, p. 20. Et de même, les
dieux
gaulois prennent des noms latins sans se transformer autrement. 21.
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st pas ce ciel-là qu’eût adoré Corneille ! Ni ces
dieux
que l’on dupe, et sur qui l’on rejette la faute : Les dieux m’en son
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’on dupe, et sur qui l’on rejette la faute : Les
dieux
m’en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fat
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ette la faute : Les dieux m’en sont témoins, ces
dieux
qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang. (II, 3.)
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e prendre. Et l’on parle de « passionnettes ». Le
dieu
d’Amour n’est plus un dur destin mais un enfant impertinent. Presque
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l’au-delà dont le but n’est pas de supprimer les
dieux
mais de s’emparer de leur pouvoir en divinisant l’ici-bas. Perdre sa
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à ce que peut faire l’homme qui se prend pour son
dieu
. Voilà le mouvement dernier de la passion, dont l’exaspération s’appe
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es pour décrire les effets de l’amour naturel. Le
dieu
d’amour est un archer qui décoche des flèches mortelles. La femme se
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délivré de son destin. Dès qu’il cesse d’être un
dieu
, il cesse d’être un démon 200. Et il retrouve sa juste place dans l’é
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in. Le païen ne pouvait autrement que de faire un
dieu
de l’Éros : c’était son pouvoir le plus fort, le plus dangereux et le