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e dans le monde christianisé Éros, qui était un
dieu
pour les Anciens, est un problème pour les Modernes. Le dieu était ai
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es Anciens, est un problème pour les Modernes. Le
dieu
était ailé, charmant et secondaire ; le problème est sérieux, complex
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rant de la manière la plus précise les unions des
dieux
et de leurs femmes, à des fins didactiques et religieuses. Point de m
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ttement Aphrodite (de aphros, écume, ou sperme du
dieu
mutilé), qui préside à l’amour physique, et Éros, qui régit le sentim
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furent attribués (et qui, à l’instar des noms des
dieux
antiques, évoquent certains groupes de puissances), c’est méditer en
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nnent bien autant sur l’Europe que les statues de
dieux
animaux ou de Shivas à quatre bras sur la civilisation de l’Égypte ou
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l’autre de « Don Juan » ? A-t-il été victime des
dieux
, j’entends des mythes ? Ou d’une originelle erreur sur la personne ?
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tenus dans la vie d’un Aztèque par les décrets de
dieux
déments, et qui sont morts ? Fut-il plutôt l’acteur, sacrifié à son r
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sède la mesure au sein d’un tout fini : Famille,
dieux
, nature, tout lui commande d’être grand. Grand pour la loi, grand pou
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de l’Être-de-volupté transcendant »119. Kâma, le
dieu
du plaisir érotique, est vénéré par les yogis, « car c’est lui seul,
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ne serai plus moi, elle ne sera plus elle, et les
dieux
mêmes me serviront. Tout et tous L’Orient voudrait exténuer, «
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e126 », pour rejoindre l’Un primordial. Quand ses
dieux
mêmes auront fait leur office et fait leur temps, il y aura le Soi se
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ont ils savent la date — la vie, le cosmos et les
dieux
seront résorbés dans l’Un seul, sans laisser aucune trace, comme n’ay