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e à Libye, quand elle était entrée dans le lit du
dieu
qui ébranle la terre ; Libye l’avait donnée à la toute belle Téléphaa
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sprit naïf de la jeune fille, il mit un masque au
dieu
, transforma sa personne, se changea en taureau ; non pas en taureau c
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ge ; à la surface des flots, qu’il gouvernait, le
dieu
sonore qui ébranle la terre guidait en personne son frère sur la rout
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rouves-tu dans l’onde salée ? Sans doute tu es un
dieu
; ce que tu fais ressemble à ce que font les dieux. Les dauphins mari
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dieu ; ce que tu fais ressemble à ce que font les
dieux
. Les dauphins marins ne circulent pas sur terre, ni les taureaux sur
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racer la route. Ce n’est pas sans le vouloir d’un
dieu
que je suis ces humides chemins. » Elle dit ; et le taureau aux belle
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de l’autel, pour y consacrer le gâteau rituel aux
dieux
préservateurs à qui est dû l’hommage : et j’aperçois alors un aigle q
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phonie (II, 5) sont des Crétois. D’autre part, le
dieu
El, père du Jahwé des Hébreux, est un dieu-taureau qui a coutume d’en
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et sur les origines sémitiques de tant de noms de
dieux
et de lieux grecs. Et tout cela nous renvoie, historiquement, à des é
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e féminine enlevée à l’Asie, puis fécondée par le
dieu
mâle qui règne sur l’Olympe des Grecs continentaux : le grand masque
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je fais attendre Orcus. Ô Dieu (si quelqu’un des
dieux
entend mes paroles) fais que j’erre nue au milieu des lions ! Avant q
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Mercator, dont le célèbre Atlas parut en 1595, le
dieu
taurin « ne représente pas mal à propos le naturel des Européens ». C
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r d’Égine a sculpté sur la plinthe Europe dont un
dieu
n’écoute pas la plainte. Le taureau blanc l’emporte. Europe, sans esp
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éroïques Qui régiront la terre et deviendront des
Dieux
! Entre le mythe primitif et la réalité — le drame de l’Europe dans
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enue d’Asie. Elle a été enlevée à l’Orient par un
dieu
du Nord. Zeus-Jupiter devient alors le dieu par excellence, le princ
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r un dieu du Nord. Zeus-Jupiter devient alors le
dieu
par excellence, le principe, la racine de tout le polythéisme grec. I
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vec lui commence une autre évolution qui mène des
dieux
aux hommes. Dans le Cronide Zeus apparaît le dieu-homme dont la missi
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rait fâcheusement les coupables amours du roi des
dieux
païens et d’une fille de Tyr, cette ville cent fois maudite par les P
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continent le nom de la princesse enlevée par leur
dieu
aux Phéniciens, précisément : d’après Eustache, écrivain byzantin du
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peuples de la Terre, voulues et garanties par les
dieux
païens ! Pour cet ancêtre du nationalisme, qui ne manque pas de lucid