1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
1 urge ; non pas au sens d’un homme, mais bien d’un dieu . Ce dernier trait est capital. On sent qu’il trahit un refus de la ré
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
2 -ci s’absolutisent, et deviennent des idoles, des dieux , souvent sanguinaires. Cette absence de doute sur les réalités immane
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
3 x se rebellent, ils fuient dans le culte des faux dieux , rassurants parce que « faits de main d’homme »… Mais sans relâche, d
4 e dépassement… Oui, la richesse est notre dernier dieu , et c’est peut-être le secret de l’expansion, mais aussi de l’anarchi
5 espèce d’art plastique. « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » — cela condamne la mythologie et la fabulation, où l
6 ablement plus familiers que les métamorphoses des dieux païens. Si bien qu’on a pu dire17 que l’Ancien Testament était la vra
7 le au culte du vrai Dieu — contre les prêtres des dieux étrangers — mais aussi ceux qui dénoncent les excès du légalisme. 11
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
8 majuscule, ne peut pas avoir de mission. Un faux dieu , ou un mot, n’ont pas de mission. Seul un homme peut en recevoir une.
9 primitive d’un ouvrage d’art ne soit un « don des dieux  » — un seul vers, par exemple, ou la vision d’une forme, sur lesquels
10 ’où vient-elle ? Ce que Paul Valéry appelle « les dieux  », sans se compromettre, ce sera pour certains le Saint-Esprit, et po