1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
1 i entre en commerce trop étroit avec le ciel, les dieux le vouent au malheur. » Ô cette chambre, où pénètre la facilité atroc
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
2 gique et passionné s’étale sous le grand rire des dieux  ! Armés de treilles à long manche, les jambes nues, nous courons sur
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
3 véritable : celui qui sait qu’il ne croit pas aux dieux du monde, et qui le prouve. Comment le prouve-t-il ? Tout simplement
4 ctions extraordinaires, surhumaines : se rire des dieux du monde est assez héroïque aux yeux du monde, pour qu’il soit vain d
5 bout de mon rouleau. Impécuniosité cyclique. Les dieux locaux me seraient-ils donc défavorables ? Je me vengerai d’eux en éc
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
6 rts, reste avec nous, Amen ! » C’est la prière au dieu de la tribu. Quant au Livre qui dit : « Aimez vos ennemis », on nous
7 ire d’une foi plus vraie, et le prouver. Les faux dieux font de faux miracles ; mais les sceptiques et les malins sont destin
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
8 attus, nous reposons dans le creux de la main des dieux du monde, comme les pierres et le silence des bêtes. Oui, vous avez d
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
9 étrange caprice, ou d’une négligence ironique des dieux policiers de l’Europe. Comme il serait facile de pincer, n’importe où
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
10 a ville où l’on s’attend à découvrir cet autel au dieu inconnu dont saint Paul s’étonnait devant les Athéniens. Toutes sont
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
11 culer, non pour s’enraciner comme une victime des dieux subitement transformée en lierre ou en légume. On peut aimer un pays