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tations de leurs sages, quelques statues de leurs
dieux
, ou quelques rythmes de leurs danses. (Demain pourtant, c’est l’Améri
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é. Comme l’ont fait la statuaire grecque avec ses
dieux
à formes humaines, l’architecture médiévale avec les voûtes romanes e
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istrent les rites, donnent leurs cours… Mais quel
dieu
servent-ils encore ? À quelle idée de l’homme, divine ou idéale, corr
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s disent : si l’homme invente, c’est par défi aux
dieux
, c’est pour ravir le feu du ciel, comme Prométhée, et pour soumettre
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lés. Il exorcise prudemment une Nature peuplée de
dieux
et leurs intentions malicieuses. L’homme moderne est-il très différen