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la plus grande docilité de l’inerte. Il est plus
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d’échapper au prestige du positivisme et du néo-pragmatisme qu’à celu
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tisme qu’à celui du moulin à prières. Il est plus
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de maintenir sur le qui-vive un empire qu’une cité étroite. En effet,
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s plein et cartésien du mot, soit infiniment plus
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et plus rare qu’on ne se figure communément. Avant de chercher à répo
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mais quelque chose de beaucoup plus dangereux et
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que l’avancement dans la vie : quelque chose que nous autres appelons
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vous dire de gens que je connais si bien ? C’est
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de les classer et je n’aime pas beaucoup ça… Il y en a de toutes sort
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us on les voit de près… — Je comprends qu’il soit
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de parler en général de ses paroissiens. Mais s’ils sont communistes,
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rquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est
difficile
! Moi, ça ne me gênerait pas. Mais eux on les étonnerait, et surtout
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dis pas. Mais pratiquement, je vous assure, c’est
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. — Et les salutistes ? — Ils ont un uniforme. C’est classé. On les co
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faut prendre position. Quant à la doctrine, c’est
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à discuter, d’abord parce qu’ils la connaissent mal, ensuite et surto
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expériences d’une vie diminuée et matériellement
difficile
, M. Denis de Rougemont sait tracer un tableau très vivant et très nua
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is, si tu as reçu la foi, il n’est plus rien de «
difficile
» dans les assertions de Luther, ni dans sa négation joyeuse du libre
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ogique est chose trop rare, et pour beaucoup trop
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à concevoir, pour qu’on puisse écarter cette objection par un simple
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tique du sérieux et de l’ironie. Kierkegaard est
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parce qu’il est simple. « La pureté du cœur, c’est de vouloir une seu