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insère ? Peut-être n’est-il rien au monde de plus
difficile
à rejeter qu’une culture faite depuis des siècles de rejets et d’inno
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de ne pas me taire. La première est qu’il serait
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de mieux fausser que ne le fait B.-H. Lévy le problème du fascisme en
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al décoré et un jeune SA, le dialogue me semblait
difficile
. C’était exact. Un ami vient de me procurer la photocopie de l’articl
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ù ils écrivaient. De quoi la preuve ne serait pas
difficile
à produire : ils n’avaient lu que le seul B.-H. Lévy — et l’avaient c
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s pas si je me fais bien comprendre, c’est un peu
difficile
à transmettre et c’est assez émouvant à vivre, je crois. Je crois que
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ré sur la culture européenne. Là-dessus, il m’est
difficile
de dégager des conclusions sur ce que nous avons fait aujourd’hui mêm
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y en a peu. Si vous me dites enfin que c’est plus
difficile
que je n’ai l’air de le penser dans ma candeur naïve, je vous demande
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ous demanderai si quelque chose au monde est plus
difficile
à concevoir que le maintien du statu quo, que la vie, la durée de not
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date d’un second serment qui l’unira. Il est très
difficile
d’espérer que jamais les gouvernements européens concluent entre eux
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à lire de gros traités de chimie qui étaient très
difficiles
pour moi parce que là, on était très loin de mes manipulations imagin
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ticiper à la Ligue du Gothard, mais cela devenait
difficile
et risqué parce qu’elle comptait des membres clandestins dans l’armée
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ouvé le besoin d’écrire ce livre ; c’est toujours
difficile
, après coup, de dire pourquoi. J’ai commencé à l’écrire dans un état
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société de masse » : l’individu s’y dilue, il est
difficile
d’en comprendre les mécanismes, d’y faire ses choix en toute connaiss