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se voir obligé à la révision des valeurs, la plus
difficile
et la plus grave : celle qu’on ne peut faire qu’au nom de l’Esprit et
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ne crois pas, j’espère que non ; bien qu’il soit
difficile
, quelquefois, me semble-t-il, de savoir exactement quelle foi on a. »
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problèmes ». On appelait cela de la « littérature
difficile
», non pas qu’une intelligence moyenne éprouvât des difficultés à sui
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u s’ils le sont, osons les simplifier. Ce qui est
difficile
, ce n’est pas de voir le vrai, c’est d’oser les actes qu’il faut, et
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doute pas se fier au tirage moyen d’un ouvrage «
difficile
». Seul, Bergson, avec ses Deux Sources pourrait s’aligner, dans cet
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— dût s’exercer au bénéfice des auteurs réputés «
difficiles
». Car les autres s’en passent fort bien. Or, c’est exactement le con
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l est facile de dire que Nietzsche exagère ; plus
difficile
de contester la cruelle pénétration dont témoigne un passage de ce ge
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is, si tu as reçu la foi, il n’est plus rien de «
difficile
» dans les assertions de Luther, ni dans sa négation joyeuse du libre
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ogique est chose trop rare, et pour beaucoup trop
difficile
à concevoir, pour qu’on puisse écarter cette objection par un simple