1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 se voir obligé à la révision des valeurs, la plus difficile et la plus grave : celle qu’on ne peut faire qu’au nom de l’Esprit et
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
2 ne crois pas, j’espère que non ; bien qu’il soit difficile , quelquefois, me semble-t-il, de savoir exactement quelle foi on a. »
3 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
3 problèmes ». On appelait cela de la « littérature difficile  », non pas qu’une intelligence moyenne éprouvât des difficultés à sui
4 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
4 u s’ils le sont, osons les simplifier. Ce qui est difficile , ce n’est pas de voir le vrai, c’est d’oser les actes qu’il faut, et
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
5 doute pas se fier au tirage moyen d’un ouvrage «  difficile  ». Seul, Bergson, avec ses Deux Sources pourrait s’aligner, dans cet
6 — dût s’exercer au bénéfice des auteurs réputés «  difficiles  ». Car les autres s’en passent fort bien. Or, c’est exactement le con
7 l est facile de dire que Nietzsche exagère ; plus difficile de contester la cruelle pénétration dont témoigne un passage de ce ge
6 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
8 is, si tu as reçu la foi, il n’est plus rien de «  difficile  » dans les assertions de Luther, ni dans sa négation joyeuse du libre
9 ogique est chose trop rare, et pour beaucoup trop difficile à concevoir, pour qu’on puisse écarter cette objection par un simple