1 eurs. Ma femme ne dispose que d’un vieux fourneau difficile à allumer et à entretenir, et d’un réchaud à gaz de pétrole sujet à d

2 s avez raison, mon cher Monsieur. Mais c’est plus difficile que vous ne croyez. Il faut que je vous dise que c’est la première fo

3 ré qui s’y opposait par tous les moyens. Ils sont difficiles à prendre, ici. Surtout il ne faut pas les brusquer ! Ce soir, il s’a

4 une réalité. Deuxième constatation : il est très difficile d’aimer des hommes qui ne nous sont rien, qui ne nous demandent rien,

5 s égale les intellectuels bourgeois). Il est très difficile d’aimer ces hommes, et cependant ils sont la réalité vivante et prése

6 ant que fait psychologique. 3 — Cependant, il est difficile , à la longue — car cela dure, croît et embellit depuis vingt ans —, d

7 ’airs entendus dès qu’il s’agit de passions. Trop difficile quand elle est belle (Claudel ne peut pas devenir populaire). Tristem

8 vous dire de gens que je connais si bien ? C’est difficile de les classer et je n’aime pas beaucoup ça… Il y en a de toutes sort

9 us on les voit de près… — Je comprends qu’il soit difficile de parler en général de ses paroissiens. Mais s’ils sont communistes,

10 rquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est difficile  ! Moi, ça ne me gênerait pas. Mais eux on les étonnerait, et surtout

11 dis pas. Mais pratiquement, je vous assure, c’est difficile . — Et les salutistes ? — Ils ont un uniforme. C’est classé. On les co

12 faut prendre position. Quant à la doctrine, c’est difficile de discuter, d’abord parce qu’ils la connaissent mal, ensuite et surt

13 on pure et simple de thèses qui paraîtraient très difficiles au jugement du clerc en chambre. Le lecteur réel, l’auditeur réel, es

14 ux tourments bienheureux d’une idée savoureuse et difficile dont je préfère tenir le nom secret, encore un temps, et je goûtais l