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’accueil fait à la pensée d’un Karl Barth, génial
disciple
du Danois, et dont il est grand temps qu’on nous traduise quelques es
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équence. Dans la mesure même où Kassner se montre
disciple
de Kierkegaard, sa pensée paraît réfractaire à toute description, car
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ens du concret de l’esprit qui enchante en moi le
disciple
de Kierkegaard. Il apparaît de plus en plus nettement que les prolégo
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d’auberges en universités, suivi d’une troupe de
disciples
turbulents, à la recherche de secrets qu’il voulait rendre manifestes
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et se rire des suiveurs, des successeurs, de ces
disciples
enhardis par le triomphe ardent d’un autre, et qui déjà croient pouvo
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monde et à soi-même » que le Christ exige de ses
disciples
, et qui est la condition de leur accession à leur vrai moi spirituel,
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nt de la même manière. » Puis il ajoute : « Si le
disciple
est exceptionnellement doué, le maître ne touche ni à la personne, ni
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elles que Dieu, la Vérité ; ce que zen demande au
disciple
, c’est de voir sa propre Physionomie. » Or comme le disait le sixième