1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 à souffrir. Ainsi lamente le Moi spirituel d’un disciple du sauveur Mani, dans l’hymne du Destin de l’Âme. L’élan de l’âme ver
2 ussi chez les cathares, et plus encore chez leurs disciples peu disciplinés, les troubadours. Des accusations horrifiantes figure
3 t jamais dit dans leurs poèmes qu’ils étaient les disciples du freudisme ; 3° qu’au contraire, la liberté qu’ils exaltent est cel
4 s-uns des chefs de cette école lisent Freud : les disciples se sont bornés à imiter la rhétorique des maîtres… En outre, on aperç
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
5 l dénonce « ces faux prophètes » — Eckhart et ses disciples  — qui « s’imaginent qu’ils sont Dieu par nature ». « Quant à ces gens
6 sé : le fait historique que Maître Eckhart et son disciple se soient opposés sur le point précis de l’union divine, rendait poss
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
7 on seulement chez les Vaudois eux-mêmes, chez les disciples de Joachim de Flore, chez les béguines et les béguards des Pays-Bas13
8 tre leur maître Guittone d’Arezzo, et railler ses disciples  : « Sectateurs de l’ignorance, aveugles qui veulent juger des couleur
9 dra attendre un siècle pour en voir un : Bergson, disciple de Schelling. 170. Voir le Journal de Novalis, et le portrait qu’il
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
10 crit ». Ainsi s’exprime le général von der Goltz, disciple de Clausewitz, lequel n’a cessé d’affirmer que toute la théorie pruss
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
11 par des entretiens de Jésus ressuscité et de ses disciples « que les évangélistes et les Actes mentionnent sans les rapporter en