1
le langage pudique et parfois si pédant du jeune
disciple
de Hegel. Entre la spontanéité démoniaque du désir, irrité par l’espr
2
et se rire des suiveurs, des successeurs, de ces
disciples
enhardis par le triomphe ardent d’un autre, et qui déjà croient pouvo
3
roche. ⁂ Dans la mesure même où Kassner se montre
disciple
de Kierkegaard, sa pensée paraît réfractaire à toute description, car
4
ingt-cinq ans en arrière une relation de maître à
disciple
qui avait été réelle dans mon esprit seulement et qui ne pouvait ni n
5
risque du coup de bâton appliqué par le maître au
disciple
, si ce dernier propose une réponse erronée. (Ainsi fait-on dans les c
6
r existentiel autant que le physiognomoniste : le
disciple
dit au maître : « Je crains de ne plus rien comprendre… Est-ce moi qu
7
monde et à soi-même » que le Christ exige de ses
disciples
, et qui est la condition de leur accession à leur vrai moi spirituel,
8
uent de la même manière. Puis il ajoute : Si le
disciple
est exceptionnellement doué, le maître ne touche ni à la personne, ni
9
elles que Dieu, la Vérité ; ce que zen demande au
disciple
, c’est de voir sa propre physionomie. » Ou, comme le disait le sixièm
10
our eux. (Suit le récit du lavement des pieds des
disciples
.) (Jean, XIII, 1). Enfin, ce passage capital de l’Épître de Jean I,
11
i sont mes frères ? Puis étendant la main sur ses
disciples
, il dit : Voici ma mère et mes frères (Matt., XII, 46-50). Si quelqu’
12
sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon
disciple
(Luc, XIV, 26). Mariage, adultère, divorce Les pharisiens l’abo
13
ant fils de la Résurrection (Luc, XX, 34-36). Ses
disciples
lui dirent : Si telle est la condition de l’homme à l’égard de la fem
14
s de mœurs impures » que saint Paul ordonne à ses
disciples
non seulement de « ne pas fréquenter », mais de « livrer à Satan. » 5