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ontre un maître admirable, mais en songeant à ses
disciples
(dont j’étais lorsque j’écrivis plusieurs chapitres de ce livre), à c
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nfluents, il est quotidiennement répété par leurs
disciples
et cité comme allant de soi par ceux qui vivent de l’écho. Les bien-p
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Karl Barth, à Emil Brunner, à leurs très nombreux
disciples
, et en général à l’étonnante vitalité théologique qu’on observe en Fr
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s est attribuée par Wellhausen et son école à des
disciples
des grands prophètes. Ce serait donc le prophétisme, c’est-à-dire l’é
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romantique. Qui voudra et pourra l’expliquer aux
disciples
de ces mouvements ? Il y faudrait un théologien. Lever les bras au ci
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rhétorique. Lorsque Jean-Paul Sartre donne à ses
disciples
le précepte de ne pas « écrire », c’est-à-dire de s’expliquer n’impor
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e du pompiérisme moderne, et de plus il prive ses
disciples
des moyens d’exprimer réellement leur message. Remarquons aussi, à pr
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mmes peut-être responsables de ce que parfois nos
disciples
ont insisté plus qu’il ne convenait sur les facteurs économiques. Nou
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it, c’est parce que Christ est mal prêché par ses
disciples
(que ce soit en paroles ou en actes). Si les chrétiens gardaient une
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use dialectique marxiste. Toujours prônée par ses
disciples
comme la démarche scientifique par excellence, cette dialectique, dev
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rs dans le monde (presque tous bourgeois), peu de
disciples
et nul martyr. Rien de commun avec l’Église primitive. Le danger véri